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Extraire les mots clés importants du texte suivant : Nigeria : crash d'un avion avec 153 personnes à bord à Lagos Un avion de ligne s'est écrasé le 3 juin 2012 sur une menuiserie et une imprimerie dans la banlieue très peuplée d'Iju de Lagos, près de l'aéroport international Murtala-Muhammed. L'appareil de type McDonnel Douglas MD-83 était exploité par Dana Air. Il transportait 147 passagers et 6 membres d'équipage. Le chef de la direction de l'aviation civile nigériane rapporte qu'aucun passager ou membre d'équipage n'a apparemment survécu. Au moins une quarantaine de personnes au sol ont également été tuées. Le crash serait dû à une défaillance des deux moteurs. Après avoir signalé une urgence à une vingtaine de kilomètres de l'aéroport, l'avion a heurté une ligne à haute tension en s'approchant de la piste et a atterri apparemment sur le ventre. Le pays a connu le même jour un attentat-suicide dans lequel au moins quinze personnes ont perdu la vie à proximité d'une église au nord-est du Nigeria. Plusieurs attaques contre des chrétiens, revendiqués par la secte islamiste Boko Haram, ont eu lieu récemment dans cette région majoritairement musulmane.

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Extraire les mots clés importants du texte suivant : Jean-Marie Le Pen traite sa fille de « petite-bourgeoise » Dans les colonnes du Times, l'ancien leader frontiste Jean-Marie Le Pen décrit sa fille, Marine Le Pen, comme « petite-bourgeoise ». « Je suis un homme du peuple. Je viens d'une famille de paysans et de pêcheurs. J'ai été officier dans un régiment de parachutistes, j'ai eu une vie virile, c'est le moins que l'on puisse dire. Ma fille, quoi qu'elle puisse en dire, est une petite-bourgeoise », explique-t-il. Il renchérit que le succès de la « dédiabolisation » du Front national est du fait que Marine Le Pen « est une femme ». « Mon image de diable s'est méthodiquement et avec ténacité imposée dans le monde politique français. Ma réputation d'antisémite a été créée artificiellement », indique-t-il. Pour lui, l'élite parisienne le caractérise d'être « grossier » et « inquiétant », alors qu'elle accepte sa fille du fait de sa bonne éducation. Jean-Luc Mélenchon, le candidat du Front de gauche à l'élection présidentielle avait appelé Marine Le Pen « la bourgeoise du château de Montretout », en référence à la propriété familiale dans les Hauts-de-Seine. Tout comme Nadine Morano, ex-députée UMP, l'avait appelé la « châtelaine de Montretout ». « C'est la grande bourgeoisie qui s'exprime quand je vous vois », lui avait dit Christian Jacob, président du groupe UMP à l'Assemblée nationale, avant de poursuivre « Vous êtes une héritière, qui vivez dans votre château de Saint-Cloud ». Dans l'interview, Jean-Marie Le Pen revient sur le parti, la démographie européenne, ainsi que l'islam. « Le maître sera l'islam. Si les islamistes deviennent majoritaires en France, ce sera la charia », prévient-il. Mise à jour — 16:50 (UTC) : Jean-Marie Le Pen affirme dans son blog vidéo hebdomadaire qu'il voulait qualifier sa fille de « petite fille bourgeoise », et non de « petite bourgeoise ». « Le texte exact, c'est 'a little bourgeoise girl' ... c'est une petite fille bourgeoise », tente-t-il de corriger au cours de sa vidéo. « J'évoquais nos différences, en particulier notre différence d'origine et de milieu. Moi je suis né dans un milieu populaire et Marine est née dans un milieu bourgeois, évidemment pas la grande bourgeoisie des Dassault ou des Fabius, mais bourgeoisie quand même », explique-t-il. « Et je ne vois pas d'ailleurs ce que le terme a d'outrageant, d'insultant, ou d'équivoque », conclut-il.

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Extrais les mots clés importants du texte suivant : Jean-Marie Le Pen traite sa fille de « petite-bourgeoise » Dans les colonnes du Times, l'ancien leader frontiste Jean-Marie Le Pen décrit sa fille, Marine Le Pen, comme « petite-bourgeoise ». « Je suis un homme du peuple. Je viens d'une famille de paysans et de pêcheurs. J'ai été officier dans un régiment de parachutistes, j'ai eu une vie virile, c'est le moins que l'on puisse dire. Ma fille, quoi qu'elle puisse en dire, est une petite-bourgeoise », explique-t-il. Il renchérit que le succès de la « dédiabolisation » du Front national est du fait que Marine Le Pen « est une femme ». « Mon image de diable s'est méthodiquement et avec ténacité imposée dans le monde politique français. Ma réputation d'antisémite a été créée artificiellement », indique-t-il. Pour lui, l'élite parisienne le caractérise d'être « grossier » et « inquiétant », alors qu'elle accepte sa fille du fait de sa bonne éducation. Jean-Luc Mélenchon, le candidat du Front de gauche à l'élection présidentielle avait appelé Marine Le Pen « la bourgeoise du château de Montretout », en référence à la propriété familiale dans les Hauts-de-Seine. Tout comme Nadine Morano, ex-députée UMP, l'avait appelé la « châtelaine de Montretout ». « C'est la grande bourgeoisie qui s'exprime quand je vous vois », lui avait dit Christian Jacob, président du groupe UMP à l'Assemblée nationale, avant de poursuivre « Vous êtes une héritière, qui vivez dans votre château de Saint-Cloud ». Dans l'interview, Jean-Marie Le Pen revient sur le parti, la démographie européenne, ainsi que l'islam. « Le maître sera l'islam. Si les islamistes deviennent majoritaires en France, ce sera la charia », prévient-il. Mise à jour — 16:50 (UTC) : Jean-Marie Le Pen affirme dans son blog vidéo hebdomadaire qu'il voulait qualifier sa fille de « petite fille bourgeoise », et non de « petite bourgeoise ». « Le texte exact, c'est 'a little bourgeoise girl' ... c'est une petite fille bourgeoise », tente-t-il de corriger au cours de sa vidéo. « J'évoquais nos différences, en particulier notre différence d'origine et de milieu. Moi je suis né dans un milieu populaire et Marine est née dans un milieu bourgeois, évidemment pas la grande bourgeoisie des Dassault ou des Fabius, mais bourgeoisie quand même », explique-t-il. « Et je ne vois pas d'ailleurs ce que le terme a d'outrageant, d'insultant, ou d'équivoque », conclut-il.

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Extrayez les mots clés importants du texte suivant : Jean-Marie Le Pen traite sa fille de « petite-bourgeoise » Dans les colonnes du Times, l'ancien leader frontiste Jean-Marie Le Pen décrit sa fille, Marine Le Pen, comme « petite-bourgeoise ». « Je suis un homme du peuple. Je viens d'une famille de paysans et de pêcheurs. J'ai été officier dans un régiment de parachutistes, j'ai eu une vie virile, c'est le moins que l'on puisse dire. Ma fille, quoi qu'elle puisse en dire, est une petite-bourgeoise », explique-t-il. Il renchérit que le succès de la « dédiabolisation » du Front national est du fait que Marine Le Pen « est une femme ». « Mon image de diable s'est méthodiquement et avec ténacité imposée dans le monde politique français. Ma réputation d'antisémite a été créée artificiellement », indique-t-il. Pour lui, l'élite parisienne le caractérise d'être « grossier » et « inquiétant », alors qu'elle accepte sa fille du fait de sa bonne éducation. Jean-Luc Mélenchon, le candidat du Front de gauche à l'élection présidentielle avait appelé Marine Le Pen « la bourgeoise du château de Montretout », en référence à la propriété familiale dans les Hauts-de-Seine. Tout comme Nadine Morano, ex-députée UMP, l'avait appelé la « châtelaine de Montretout ». « C'est la grande bourgeoisie qui s'exprime quand je vous vois », lui avait dit Christian Jacob, président du groupe UMP à l'Assemblée nationale, avant de poursuivre « Vous êtes une héritière, qui vivez dans votre château de Saint-Cloud ». Dans l'interview, Jean-Marie Le Pen revient sur le parti, la démographie européenne, ainsi que l'islam. « Le maître sera l'islam. Si les islamistes deviennent majoritaires en France, ce sera la charia », prévient-il. Mise à jour — 16:50 (UTC) : Jean-Marie Le Pen affirme dans son blog vidéo hebdomadaire qu'il voulait qualifier sa fille de « petite fille bourgeoise », et non de « petite bourgeoise ». « Le texte exact, c'est 'a little bourgeoise girl' ... c'est une petite fille bourgeoise », tente-t-il de corriger au cours de sa vidéo. « J'évoquais nos différences, en particulier notre différence d'origine et de milieu. Moi je suis né dans un milieu populaire et Marine est née dans un milieu bourgeois, évidemment pas la grande bourgeoisie des Dassault ou des Fabius, mais bourgeoisie quand même », explique-t-il. « Et je ne vois pas d'ailleurs ce que le terme a d'outrageant, d'insultant, ou d'équivoque », conclut-il.

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Isolez les mots clés importants du texte suivant : Jean-Marie Le Pen traite sa fille de « petite-bourgeoise » Dans les colonnes du Times, l'ancien leader frontiste Jean-Marie Le Pen décrit sa fille, Marine Le Pen, comme « petite-bourgeoise ». « Je suis un homme du peuple. Je viens d'une famille de paysans et de pêcheurs. J'ai été officier dans un régiment de parachutistes, j'ai eu une vie virile, c'est le moins que l'on puisse dire. Ma fille, quoi qu'elle puisse en dire, est une petite-bourgeoise », explique-t-il. Il renchérit que le succès de la « dédiabolisation » du Front national est du fait que Marine Le Pen « est une femme ». « Mon image de diable s'est méthodiquement et avec ténacité imposée dans le monde politique français. Ma réputation d'antisémite a été créée artificiellement », indique-t-il. Pour lui, l'élite parisienne le caractérise d'être « grossier » et « inquiétant », alors qu'elle accepte sa fille du fait de sa bonne éducation. Jean-Luc Mélenchon, le candidat du Front de gauche à l'élection présidentielle avait appelé Marine Le Pen « la bourgeoise du château de Montretout », en référence à la propriété familiale dans les Hauts-de-Seine. Tout comme Nadine Morano, ex-députée UMP, l'avait appelé la « châtelaine de Montretout ». « C'est la grande bourgeoisie qui s'exprime quand je vous vois », lui avait dit Christian Jacob, président du groupe UMP à l'Assemblée nationale, avant de poursuivre « Vous êtes une héritière, qui vivez dans votre château de Saint-Cloud ». Dans l'interview, Jean-Marie Le Pen revient sur le parti, la démographie européenne, ainsi que l'islam. « Le maître sera l'islam. Si les islamistes deviennent majoritaires en France, ce sera la charia », prévient-il. Mise à jour — 16:50 (UTC) : Jean-Marie Le Pen affirme dans son blog vidéo hebdomadaire qu'il voulait qualifier sa fille de « petite fille bourgeoise », et non de « petite bourgeoise ». « Le texte exact, c'est 'a little bourgeoise girl' ... c'est une petite fille bourgeoise », tente-t-il de corriger au cours de sa vidéo. « J'évoquais nos différences, en particulier notre différence d'origine et de milieu. Moi je suis né dans un milieu populaire et Marine est née dans un milieu bourgeois, évidemment pas la grande bourgeoisie des Dassault ou des Fabius, mais bourgeoisie quand même », explique-t-il. « Et je ne vois pas d'ailleurs ce que le terme a d'outrageant, d'insultant, ou d'équivoque », conclut-il.

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Dégager des mots clés dans le texte : Jean-Marie Le Pen traite sa fille de « petite-bourgeoise » Dans les colonnes du Times, l'ancien leader frontiste Jean-Marie Le Pen décrit sa fille, Marine Le Pen, comme « petite-bourgeoise ». « Je suis un homme du peuple. Je viens d'une famille de paysans et de pêcheurs. J'ai été officier dans un régiment de parachutistes, j'ai eu une vie virile, c'est le moins que l'on puisse dire. Ma fille, quoi qu'elle puisse en dire, est une petite-bourgeoise », explique-t-il. Il renchérit que le succès de la « dédiabolisation » du Front national est du fait que Marine Le Pen « est une femme ». « Mon image de diable s'est méthodiquement et avec ténacité imposée dans le monde politique français. Ma réputation d'antisémite a été créée artificiellement », indique-t-il. Pour lui, l'élite parisienne le caractérise d'être « grossier » et « inquiétant », alors qu'elle accepte sa fille du fait de sa bonne éducation. Jean-Luc Mélenchon, le candidat du Front de gauche à l'élection présidentielle avait appelé Marine Le Pen « la bourgeoise du château de Montretout », en référence à la propriété familiale dans les Hauts-de-Seine. Tout comme Nadine Morano, ex-députée UMP, l'avait appelé la « châtelaine de Montretout ». « C'est la grande bourgeoisie qui s'exprime quand je vous vois », lui avait dit Christian Jacob, président du groupe UMP à l'Assemblée nationale, avant de poursuivre « Vous êtes une héritière, qui vivez dans votre château de Saint-Cloud ». Dans l'interview, Jean-Marie Le Pen revient sur le parti, la démographie européenne, ainsi que l'islam. « Le maître sera l'islam. Si les islamistes deviennent majoritaires en France, ce sera la charia », prévient-il. Mise à jour — 16:50 (UTC) : Jean-Marie Le Pen affirme dans son blog vidéo hebdomadaire qu'il voulait qualifier sa fille de « petite fille bourgeoise », et non de « petite bourgeoise ». « Le texte exact, c'est 'a little bourgeoise girl' ... c'est une petite fille bourgeoise », tente-t-il de corriger au cours de sa vidéo. « J'évoquais nos différences, en particulier notre différence d'origine et de milieu. Moi je suis né dans un milieu populaire et Marine est née dans un milieu bourgeois, évidemment pas la grande bourgeoisie des Dassault ou des Fabius, mais bourgeoisie quand même », explique-t-il. « Et je ne vois pas d'ailleurs ce que le terme a d'outrageant, d'insultant, ou d'équivoque », conclut-il.

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Dégage des mots clés dans le texte : Jean-Marie Le Pen traite sa fille de « petite-bourgeoise » Dans les colonnes du Times, l'ancien leader frontiste Jean-Marie Le Pen décrit sa fille, Marine Le Pen, comme « petite-bourgeoise ». « Je suis un homme du peuple. Je viens d'une famille de paysans et de pêcheurs. J'ai été officier dans un régiment de parachutistes, j'ai eu une vie virile, c'est le moins que l'on puisse dire. Ma fille, quoi qu'elle puisse en dire, est une petite-bourgeoise », explique-t-il. Il renchérit que le succès de la « dédiabolisation » du Front national est du fait que Marine Le Pen « est une femme ». « Mon image de diable s'est méthodiquement et avec ténacité imposée dans le monde politique français. Ma réputation d'antisémite a été créée artificiellement », indique-t-il. Pour lui, l'élite parisienne le caractérise d'être « grossier » et « inquiétant », alors qu'elle accepte sa fille du fait de sa bonne éducation. Jean-Luc Mélenchon, le candidat du Front de gauche à l'élection présidentielle avait appelé Marine Le Pen « la bourgeoise du château de Montretout », en référence à la propriété familiale dans les Hauts-de-Seine. Tout comme Nadine Morano, ex-députée UMP, l'avait appelé la « châtelaine de Montretout ». « C'est la grande bourgeoisie qui s'exprime quand je vous vois », lui avait dit Christian Jacob, président du groupe UMP à l'Assemblée nationale, avant de poursuivre « Vous êtes une héritière, qui vivez dans votre château de Saint-Cloud ». Dans l'interview, Jean-Marie Le Pen revient sur le parti, la démographie européenne, ainsi que l'islam. « Le maître sera l'islam. Si les islamistes deviennent majoritaires en France, ce sera la charia », prévient-il. Mise à jour — 16:50 (UTC) : Jean-Marie Le Pen affirme dans son blog vidéo hebdomadaire qu'il voulait qualifier sa fille de « petite fille bourgeoise », et non de « petite bourgeoise ». « Le texte exact, c'est 'a little bourgeoise girl' ... c'est une petite fille bourgeoise », tente-t-il de corriger au cours de sa vidéo. « J'évoquais nos différences, en particulier notre différence d'origine et de milieu. Moi je suis né dans un milieu populaire et Marine est née dans un milieu bourgeois, évidemment pas la grande bourgeoisie des Dassault ou des Fabius, mais bourgeoisie quand même », explique-t-il. « Et je ne vois pas d'ailleurs ce que le terme a d'outrageant, d'insultant, ou d'équivoque », conclut-il.

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Extraire les mots clés importants du texte suivant : Mali : les islamistes poursuivent leurs destructions à Tombouctou Suite à la destruction de sept des seize mausolées musulmans depuis le 30 juin dernier, les islamistes d'Ansar Eddine ont repris leurs actes de destruction à Tombouctou en s'attaquant à la porte de la mosquée Sidi Yeyia, datant du XVe siècle. De nombreux habitants, témoins de la scène, ont déclaré : « Ils ont arraché la porte sacrée qu'on ouvrait jamais ». Un ancien guide touristique a indiqué : « Ils sont venus avec des pioches, ils ont commencé par crier 'Allah' et ils ont cassé la porte. C'est très grave. Parmi les civils qui regardaient ça, certains ont pleuré. » La porte sud de la mosquée Sidi Yeyia est fermée depuis plusieurs décennies en raison d'une croyance locale affirmant que son ouverture apporterait le malheur. Les membres d'Ansar Eddine ont justifiés la destruction de cette porte pour prouver aux habitants que son ouverture ne provoquerait pas la fin du monde. La procureure de la Cour pénale internationale, Mme Fatou Bensouda, a déclaré : « Mon message à ceux qui sont impliqués dans cet acte criminel est clair : arrêtez la destruction de biens religieux maintenant. C'est un crime de guerre pour lequel mes services sont pleinement autorisés à enquêter ». Le gouvernement malien, impuissant, a de son côté dénoncé « la furie destructrice assimilable à des crimes de guerre » et a menacé les auteurs de ces exactions de poursuites au Mali et dans d'autres pays. L'Association des leaders religieux du Mali a pour sa part condamné le crime de Tombouctou et estimé que « même le prophète (Mahomet) lui-même allait visiter les tombes et les mausolées. C’est de l’intolérance ». Ces actes de destruction sont des représailles de l'organisation islamique, qui affirme « agir au nom de Dieu », suite à la décision de l'UNESCO, le 28 juin dernier, d'inscrire la ville de Tombouctou à la liste du patrimoine mondial en péril, en raison de la présence des islamistes dans la cité des trois cents trente-trois saints. Ansar Eddine avait notamment menacé le week-end dernier de s'en prendre aux mosquées de la ville ; l'organisation islamique justifie entre-autres ces exactions par le fait qu'elle considère les anciens monuments de Tombouctou impies.

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Générer des mots clés issus du texte suivant : Mali : les islamistes poursuivent leurs destructions à Tombouctou Suite à la destruction de sept des seize mausolées musulmans depuis le 30 juin dernier, les islamistes d'Ansar Eddine ont repris leurs actes de destruction à Tombouctou en s'attaquant à la porte de la mosquée Sidi Yeyia, datant du XVe siècle. De nombreux habitants, témoins de la scène, ont déclaré : « Ils ont arraché la porte sacrée qu'on ouvrait jamais ». Un ancien guide touristique a indiqué : « Ils sont venus avec des pioches, ils ont commencé par crier 'Allah' et ils ont cassé la porte. C'est très grave. Parmi les civils qui regardaient ça, certains ont pleuré. » La porte sud de la mosquée Sidi Yeyia est fermée depuis plusieurs décennies en raison d'une croyance locale affirmant que son ouverture apporterait le malheur. Les membres d'Ansar Eddine ont justifiés la destruction de cette porte pour prouver aux habitants que son ouverture ne provoquerait pas la fin du monde. La procureure de la Cour pénale internationale, Mme Fatou Bensouda, a déclaré : « Mon message à ceux qui sont impliqués dans cet acte criminel est clair : arrêtez la destruction de biens religieux maintenant. C'est un crime de guerre pour lequel mes services sont pleinement autorisés à enquêter ». Le gouvernement malien, impuissant, a de son côté dénoncé « la furie destructrice assimilable à des crimes de guerre » et a menacé les auteurs de ces exactions de poursuites au Mali et dans d'autres pays. L'Association des leaders religieux du Mali a pour sa part condamné le crime de Tombouctou et estimé que « même le prophète (Mahomet) lui-même allait visiter les tombes et les mausolées. C’est de l’intolérance ». Ces actes de destruction sont des représailles de l'organisation islamique, qui affirme « agir au nom de Dieu », suite à la décision de l'UNESCO, le 28 juin dernier, d'inscrire la ville de Tombouctou à la liste du patrimoine mondial en péril, en raison de la présence des islamistes dans la cité des trois cents trente-trois saints. Ansar Eddine avait notamment menacé le week-end dernier de s'en prendre aux mosquées de la ville ; l'organisation islamique justifie entre-autres ces exactions par le fait qu'elle considère les anciens monuments de Tombouctou impies.

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