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Générez des mots clés issus du texte suivant : Départ du Vendée Globe 2012-2013 19 des 20 skippers, dont 19 hommes et une seule femme, de l'édition 2012-2013 du Vendée Globe, sont partis des Sables d'Olonne à 13h02, heure française (12h02 UTC), pour 3 mois de tour du monde en solitaire, sans escales ni assistance ; Bertrand de Broc est lui obligé de rentrer au port avant même le départ en raison d'une voie d'eau, après avoir heurté un poteau en sortant du port, et doit donc repousser son départ. Il a finalement pu prendre un départ dans la nuit. Dans l'après-midi, Marc Guillemot a dû faire demi-tour après avoir entendu, vers 16h45 UTC, deux « bangs successifs », alors qu'il était à environ 50 milles nautiques (93 km) des Sables d'Olonne. Il annonce son abandon en début de matinée le 11 novembre.
départ, départ du vendée globe, édition 2012-2013, sables d'olonne, port, novembre
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départ, départ du vendée globe, édition 2012-2013, sables d'olonne, port, novembre
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Repérez les mots clés importants présents dans le texte suivant : Départ du Vendée Globe 2012-2013 19 des 20 skippers, dont 19 hommes et une seule femme, de l'édition 2012-2013 du Vendée Globe, sont partis des Sables d'Olonne à 13h02, heure française (12h02 UTC), pour 3 mois de tour du monde en solitaire, sans escales ni assistance ; Bertrand de Broc est lui obligé de rentrer au port avant même le départ en raison d'une voie d'eau, après avoir heurté un poteau en sortant du port, et doit donc repousser son départ. Il a finalement pu prendre un départ dans la nuit. Dans l'après-midi, Marc Guillemot a dû faire demi-tour après avoir entendu, vers 16h45 UTC, deux « bangs successifs », alors qu'il était à environ 50 milles nautiques (93 km) des Sables d'Olonne. Il annonce son abandon en début de matinée le 11 novembre.
départ, départ du vendée globe, édition 2012-2013, sables d'olonne, port, novembre
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Extraire les mots clés importants du texte suivant : Énergie : Hausse des marges pour les raffineurs européens Depuis le début de l'année, les marges des raffineurs européens progressent par rapport à aux trois dernières années. Depuis les 8 premiers mois de l'année les raffineurs font en moyenne une marge brute de 31 euros par tonnes de brent. En 2011, la marge moyenne était de 14 euros, de 21 euros en 2010 et 15 euros en 2009. On retrouve une marge supérieure en 2008 avec 39 euros par tonnes de brent. Une amélioration due aux difficultés du secteurs « Petroplus a fermé pendant plusieurs mois, ce qui a retiré de la capacité, a resserré les équilibres entre offre et demande et a ainsi amélioré les marges », explique le président de l'Union française des industries pétrolières (Ufip), Jean Louis Schilansky. Au début de l'année les capacités de raffinage en France étaient de 82,2 millions de tonnes, ce qui correspond par rapport à 2010 à une baisse de 16%. Depuis 2009, deux raffineries ont été fermées, alors que ces derniers mois deux raffineries ont suspendues leurs activités. Reconfigurer les sites pour répondre à la demande La profession pointe du doigt les choix fiscaux qui ont favorisé la demande de gazole, tandis que l'appareil de raffinage est pensé pour l'essence. Cela a induit l'importation de 18 millions de tonnes de gazole l'an dernier. Total fermera sa raffinerie de Gonfreville-l'Orcher pour réorienter la production vers le gazole au mois de septembre.
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Extrais les mots clés importants du texte suivant : Énergie : Hausse des marges pour les raffineurs européens Depuis le début de l'année, les marges des raffineurs européens progressent par rapport à aux trois dernières années. Depuis les 8 premiers mois de l'année les raffineurs font en moyenne une marge brute de 31 euros par tonnes de brent. En 2011, la marge moyenne était de 14 euros, de 21 euros en 2010 et 15 euros en 2009. On retrouve une marge supérieure en 2008 avec 39 euros par tonnes de brent. Une amélioration due aux difficultés du secteurs « Petroplus a fermé pendant plusieurs mois, ce qui a retiré de la capacité, a resserré les équilibres entre offre et demande et a ainsi amélioré les marges », explique le président de l'Union française des industries pétrolières (Ufip), Jean Louis Schilansky. Au début de l'année les capacités de raffinage en France étaient de 82,2 millions de tonnes, ce qui correspond par rapport à 2010 à une baisse de 16%. Depuis 2009, deux raffineries ont été fermées, alors que ces derniers mois deux raffineries ont suspendues leurs activités. Reconfigurer les sites pour répondre à la demande La profession pointe du doigt les choix fiscaux qui ont favorisé la demande de gazole, tandis que l'appareil de raffinage est pensé pour l'essence. Cela a induit l'importation de 18 millions de tonnes de gazole l'an dernier. Total fermera sa raffinerie de Gonfreville-l'Orcher pour réorienter la production vers le gazole au mois de septembre.
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Extrayez les mots clés importants du texte suivant : Énergie : Hausse des marges pour les raffineurs européens Depuis le début de l'année, les marges des raffineurs européens progressent par rapport à aux trois dernières années. Depuis les 8 premiers mois de l'année les raffineurs font en moyenne une marge brute de 31 euros par tonnes de brent. En 2011, la marge moyenne était de 14 euros, de 21 euros en 2010 et 15 euros en 2009. On retrouve une marge supérieure en 2008 avec 39 euros par tonnes de brent. Une amélioration due aux difficultés du secteurs « Petroplus a fermé pendant plusieurs mois, ce qui a retiré de la capacité, a resserré les équilibres entre offre et demande et a ainsi amélioré les marges », explique le président de l'Union française des industries pétrolières (Ufip), Jean Louis Schilansky. Au début de l'année les capacités de raffinage en France étaient de 82,2 millions de tonnes, ce qui correspond par rapport à 2010 à une baisse de 16%. Depuis 2009, deux raffineries ont été fermées, alors que ces derniers mois deux raffineries ont suspendues leurs activités. Reconfigurer les sites pour répondre à la demande La profession pointe du doigt les choix fiscaux qui ont favorisé la demande de gazole, tandis que l'appareil de raffinage est pensé pour l'essence. Cela a induit l'importation de 18 millions de tonnes de gazole l'an dernier. Total fermera sa raffinerie de Gonfreville-l'Orcher pour réorienter la production vers le gazole au mois de septembre.
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Isoler les mots clés importants du texte suivant : Énergie : Hausse des marges pour les raffineurs européens Depuis le début de l'année, les marges des raffineurs européens progressent par rapport à aux trois dernières années. Depuis les 8 premiers mois de l'année les raffineurs font en moyenne une marge brute de 31 euros par tonnes de brent. En 2011, la marge moyenne était de 14 euros, de 21 euros en 2010 et 15 euros en 2009. On retrouve une marge supérieure en 2008 avec 39 euros par tonnes de brent. Une amélioration due aux difficultés du secteurs « Petroplus a fermé pendant plusieurs mois, ce qui a retiré de la capacité, a resserré les équilibres entre offre et demande et a ainsi amélioré les marges », explique le président de l'Union française des industries pétrolières (Ufip), Jean Louis Schilansky. Au début de l'année les capacités de raffinage en France étaient de 82,2 millions de tonnes, ce qui correspond par rapport à 2010 à une baisse de 16%. Depuis 2009, deux raffineries ont été fermées, alors que ces derniers mois deux raffineries ont suspendues leurs activités. Reconfigurer les sites pour répondre à la demande La profession pointe du doigt les choix fiscaux qui ont favorisé la demande de gazole, tandis que l'appareil de raffinage est pensé pour l'essence. Cela a induit l'importation de 18 millions de tonnes de gazole l'an dernier. Total fermera sa raffinerie de Gonfreville-l'Orcher pour réorienter la production vers le gazole au mois de septembre.
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Isole les mots clés importants du texte suivant : Énergie : Hausse des marges pour les raffineurs européens Depuis le début de l'année, les marges des raffineurs européens progressent par rapport à aux trois dernières années. Depuis les 8 premiers mois de l'année les raffineurs font en moyenne une marge brute de 31 euros par tonnes de brent. En 2011, la marge moyenne était de 14 euros, de 21 euros en 2010 et 15 euros en 2009. On retrouve une marge supérieure en 2008 avec 39 euros par tonnes de brent. Une amélioration due aux difficultés du secteurs « Petroplus a fermé pendant plusieurs mois, ce qui a retiré de la capacité, a resserré les équilibres entre offre et demande et a ainsi amélioré les marges », explique le président de l'Union française des industries pétrolières (Ufip), Jean Louis Schilansky. Au début de l'année les capacités de raffinage en France étaient de 82,2 millions de tonnes, ce qui correspond par rapport à 2010 à une baisse de 16%. Depuis 2009, deux raffineries ont été fermées, alors que ces derniers mois deux raffineries ont suspendues leurs activités. Reconfigurer les sites pour répondre à la demande La profession pointe du doigt les choix fiscaux qui ont favorisé la demande de gazole, tandis que l'appareil de raffinage est pensé pour l'essence. Cela a induit l'importation de 18 millions de tonnes de gazole l'an dernier. Total fermera sa raffinerie de Gonfreville-l'Orcher pour réorienter la production vers le gazole au mois de septembre.
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Isolez les mots clés importants du texte suivant : Énergie : Hausse des marges pour les raffineurs européens Depuis le début de l'année, les marges des raffineurs européens progressent par rapport à aux trois dernières années. Depuis les 8 premiers mois de l'année les raffineurs font en moyenne une marge brute de 31 euros par tonnes de brent. En 2011, la marge moyenne était de 14 euros, de 21 euros en 2010 et 15 euros en 2009. On retrouve une marge supérieure en 2008 avec 39 euros par tonnes de brent. Une amélioration due aux difficultés du secteurs « Petroplus a fermé pendant plusieurs mois, ce qui a retiré de la capacité, a resserré les équilibres entre offre et demande et a ainsi amélioré les marges », explique le président de l'Union française des industries pétrolières (Ufip), Jean Louis Schilansky. Au début de l'année les capacités de raffinage en France étaient de 82,2 millions de tonnes, ce qui correspond par rapport à 2010 à une baisse de 16%. Depuis 2009, deux raffineries ont été fermées, alors que ces derniers mois deux raffineries ont suspendues leurs activités. Reconfigurer les sites pour répondre à la demande La profession pointe du doigt les choix fiscaux qui ont favorisé la demande de gazole, tandis que l'appareil de raffinage est pensé pour l'essence. Cela a induit l'importation de 18 millions de tonnes de gazole l'an dernier. Total fermera sa raffinerie de Gonfreville-l'Orcher pour réorienter la production vers le gazole au mois de septembre.
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Dégager des mots clés dans le texte : Énergie : Hausse des marges pour les raffineurs européens Depuis le début de l'année, les marges des raffineurs européens progressent par rapport à aux trois dernières années. Depuis les 8 premiers mois de l'année les raffineurs font en moyenne une marge brute de 31 euros par tonnes de brent. En 2011, la marge moyenne était de 14 euros, de 21 euros en 2010 et 15 euros en 2009. On retrouve une marge supérieure en 2008 avec 39 euros par tonnes de brent. Une amélioration due aux difficultés du secteurs « Petroplus a fermé pendant plusieurs mois, ce qui a retiré de la capacité, a resserré les équilibres entre offre et demande et a ainsi amélioré les marges », explique le président de l'Union française des industries pétrolières (Ufip), Jean Louis Schilansky. Au début de l'année les capacités de raffinage en France étaient de 82,2 millions de tonnes, ce qui correspond par rapport à 2010 à une baisse de 16%. Depuis 2009, deux raffineries ont été fermées, alors que ces derniers mois deux raffineries ont suspendues leurs activités. Reconfigurer les sites pour répondre à la demande La profession pointe du doigt les choix fiscaux qui ont favorisé la demande de gazole, tandis que l'appareil de raffinage est pensé pour l'essence. Cela a induit l'importation de 18 millions de tonnes de gazole l'an dernier. Total fermera sa raffinerie de Gonfreville-l'Orcher pour réorienter la production vers le gazole au mois de septembre.
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Dégagez des mots clés dans le texte : Énergie : Hausse des marges pour les raffineurs européens Depuis le début de l'année, les marges des raffineurs européens progressent par rapport à aux trois dernières années. Depuis les 8 premiers mois de l'année les raffineurs font en moyenne une marge brute de 31 euros par tonnes de brent. En 2011, la marge moyenne était de 14 euros, de 21 euros en 2010 et 15 euros en 2009. On retrouve une marge supérieure en 2008 avec 39 euros par tonnes de brent. Une amélioration due aux difficultés du secteurs « Petroplus a fermé pendant plusieurs mois, ce qui a retiré de la capacité, a resserré les équilibres entre offre et demande et a ainsi amélioré les marges », explique le président de l'Union française des industries pétrolières (Ufip), Jean Louis Schilansky. Au début de l'année les capacités de raffinage en France étaient de 82,2 millions de tonnes, ce qui correspond par rapport à 2010 à une baisse de 16%. Depuis 2009, deux raffineries ont été fermées, alors que ces derniers mois deux raffineries ont suspendues leurs activités. Reconfigurer les sites pour répondre à la demande La profession pointe du doigt les choix fiscaux qui ont favorisé la demande de gazole, tandis que l'appareil de raffinage est pensé pour l'essence. Cela a induit l'importation de 18 millions de tonnes de gazole l'an dernier. Total fermera sa raffinerie de Gonfreville-l'Orcher pour réorienter la production vers le gazole au mois de septembre.
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Extraire les mots clés importants du texte suivant : Vendée Globe : Déjà un abandon Marc Guillemot (Safran), qui comptait parmi les favoris de cette édition du Vendée Globe, a préféré être prudent, et rentrer aux Sables d'Olonne après avoir entendu deux « bangs successifs » hier après-midi. Arrivé à 0h50, il a annoncé ce matin, vers 7h30, son abandon, en raison « d'une rupture de la quille sous la flottaison ». Il a précisé en conférence de presse : « J'ai imaginé que quelque chose était cassé au niveau du saumon (bulbe de quille). Je n'ai pas imaginé que c'était toute la quille. Il reste un moignon de 30 cm. » En 2009 déjà, il avait dû parcourir les 1 000 derniers milles sans quille. Bertrand de Broc, obligé de rentrer au port avant même le départ pour réparer une voie d'eau, après avoir heurté un poteau en sortant du port, a lui pu partir vers 0h45. Au pointage de 19h, François Gabart est en tête devant Vincent Riou (à 10,4 milles) et Armel Le Cléac'h (à 11,5 milles).
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Extrais les mots clés importants du texte suivant : Vendée Globe : Déjà un abandon Marc Guillemot (Safran), qui comptait parmi les favoris de cette édition du Vendée Globe, a préféré être prudent, et rentrer aux Sables d'Olonne après avoir entendu deux « bangs successifs » hier après-midi. Arrivé à 0h50, il a annoncé ce matin, vers 7h30, son abandon, en raison « d'une rupture de la quille sous la flottaison ». Il a précisé en conférence de presse : « J'ai imaginé que quelque chose était cassé au niveau du saumon (bulbe de quille). Je n'ai pas imaginé que c'était toute la quille. Il reste un moignon de 30 cm. » En 2009 déjà, il avait dû parcourir les 1 000 derniers milles sans quille. Bertrand de Broc, obligé de rentrer au port avant même le départ pour réparer une voie d'eau, après avoir heurté un poteau en sortant du port, a lui pu partir vers 0h45. Au pointage de 19h, François Gabart est en tête devant Vincent Riou (à 10,4 milles) et Armel Le Cléac'h (à 11,5 milles).
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Extrayez les mots clés importants du texte suivant : Vendée Globe : Déjà un abandon Marc Guillemot (Safran), qui comptait parmi les favoris de cette édition du Vendée Globe, a préféré être prudent, et rentrer aux Sables d'Olonne après avoir entendu deux « bangs successifs » hier après-midi. Arrivé à 0h50, il a annoncé ce matin, vers 7h30, son abandon, en raison « d'une rupture de la quille sous la flottaison ». Il a précisé en conférence de presse : « J'ai imaginé que quelque chose était cassé au niveau du saumon (bulbe de quille). Je n'ai pas imaginé que c'était toute la quille. Il reste un moignon de 30 cm. » En 2009 déjà, il avait dû parcourir les 1 000 derniers milles sans quille. Bertrand de Broc, obligé de rentrer au port avant même le départ pour réparer une voie d'eau, après avoir heurté un poteau en sortant du port, a lui pu partir vers 0h45. Au pointage de 19h, François Gabart est en tête devant Vincent Riou (à 10,4 milles) et Armel Le Cléac'h (à 11,5 milles).
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Isoler les mots clés importants du texte suivant : Vendée Globe : Déjà un abandon Marc Guillemot (Safran), qui comptait parmi les favoris de cette édition du Vendée Globe, a préféré être prudent, et rentrer aux Sables d'Olonne après avoir entendu deux « bangs successifs » hier après-midi. Arrivé à 0h50, il a annoncé ce matin, vers 7h30, son abandon, en raison « d'une rupture de la quille sous la flottaison ». Il a précisé en conférence de presse : « J'ai imaginé que quelque chose était cassé au niveau du saumon (bulbe de quille). Je n'ai pas imaginé que c'était toute la quille. Il reste un moignon de 30 cm. » En 2009 déjà, il avait dû parcourir les 1 000 derniers milles sans quille. Bertrand de Broc, obligé de rentrer au port avant même le départ pour réparer une voie d'eau, après avoir heurté un poteau en sortant du port, a lui pu partir vers 0h45. Au pointage de 19h, François Gabart est en tête devant Vincent Riou (à 10,4 milles) et Armel Le Cléac'h (à 11,5 milles).
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Isolez les mots clés importants du texte suivant : Vendée Globe : Déjà un abandon Marc Guillemot (Safran), qui comptait parmi les favoris de cette édition du Vendée Globe, a préféré être prudent, et rentrer aux Sables d'Olonne après avoir entendu deux « bangs successifs » hier après-midi. Arrivé à 0h50, il a annoncé ce matin, vers 7h30, son abandon, en raison « d'une rupture de la quille sous la flottaison ». Il a précisé en conférence de presse : « J'ai imaginé que quelque chose était cassé au niveau du saumon (bulbe de quille). Je n'ai pas imaginé que c'était toute la quille. Il reste un moignon de 30 cm. » En 2009 déjà, il avait dû parcourir les 1 000 derniers milles sans quille. Bertrand de Broc, obligé de rentrer au port avant même le départ pour réparer une voie d'eau, après avoir heurté un poteau en sortant du port, a lui pu partir vers 0h45. Au pointage de 19h, François Gabart est en tête devant Vincent Riou (à 10,4 milles) et Armel Le Cléac'h (à 11,5 milles).
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Extraire les mots clés importants du texte suivant : France : Hewlett-Packard va supprimer 520 postes d'ici à 2014 Le plan de réduction d'effectifs de l'entreprise américaine Hewlett-Packard (HP), spécialisée dans l'informatique, se poursuit depuis mai dernier. En effet, environ 520 postes seront supprimés en France d'ici à 2014, a indiqué la direction. Cette annonce fait suite à la volonté du groupe de réduire ses effectifs de 8 %, soit de 27 000 salariés de part le monde. Plus récemment, mi-juin, la direction avait annoncé porter que 8 000 de ces suppressions auraient lieu en Europe. Cette réduction d'effectifs concernera les deux filiales françaises du géant, l'une basée en Isère (2 100 employés) et l'autre sur tout le territoire (2 900 employés). Gérald Karsenti, PDG de HP France, a indiqué « vouloir procéder uniquement à des départs volontaires, exclusivement au travers d'un dispositif de retraite anticipée », et à « embaucher 210 jeunes sur trois ans ». Myriam Martinet, de la CGT, a elle relevé qu'il « n'y a que 210 embauches sur trois ans, donc il y a une perte sèche de 310 emplois en France ». « [C'est] inacceptable dans la mesure où HP a augmenté sa distribution de dividendes [aux actionnaires] cette année ». HP accuse une baisse de 3 % de son chiffre d'affaires et de 31 % de son bénéfice net. Ce plan, voulu par la directrice générale nommée en septembre dernier Meg Whitman, devrait permettre d'économiser 3,5 milliards de dollars chaque année, afin de les utiliser pour la recherche et le développement.
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Extraire les mots clés importants du texte suivant : Union européenne : Lancement prévu aujourd'hui de deux satellites du programme Galileo C'est aujourd'hui, à 18h15 UTC qu'une fusée Soyouz devrait lancer les satellites n° 3 et 4 depuis le centre spatial guyanais de Kourou. Si tout se passe comme prévu, les tests pourront démarrer. En effet, comme pour le système américain GPS dont nous disposons actuellement, il faut un minimum de quatre satellites visibles depuis le récepteur pour calculer avec précision sa position. Le cœur du système est la précision des horloges atomiques dont il est doté. Pour simplifier la compréhension du fonctionnement de ce système, il faut savoir que le récepteur calcule la distance qui le sépare de chacun des satellites en fonction de l'intervalle de temps compris entre l'émission d'un signal radioélectrique par ces derniers et la réception de ce signal. Si l'horloge du récepteur était rigoureusement synchronisée avec celle du satellite , cette donnée positionnerait le récepteur sur une sphère dont le rayon est proportionnel à cet intervalle de temps. En pratique, l'horloge du satellite et celle du récepteur ne sont pas synchronisées, d'où une erreur de position si l'on retient le calcul brut. Par contre, si tous les satellites ont des horloges parfaitement synchronisées, il est possible de connaître avec précision le décalage entre ces dernières et celle du récepteur, et de corriger les rayons de manière à obtenir un positionnement précis. Cela revient donc à résoudre un système de quatre équations à quatre inconnues : les coordonnées du récepteur en x, y et z et le décalage entre les horloges atomiques des satellites et l'horloge du récepteur. En d'autres termes : Le signal d'un premier satellite positionne le récepteur dans une sphère dont le satellite est le centre (rayon connu à corriger du décalage cité plus haut). Le signal d'un second satellite positionne le récepteur à l'intersection de deux sphères, donc sur un cercle. Le signal reçu d'un troisième satellite le positionne à l'intersection de ce cercle avec une troisième sphère, donc en 1 point (deux, en réalité, mais un seul situé plus près de la terre que les satellites. Le signal reçu du quatrième récepteur permet de déterminer l'écart entre les horloges des satellites et celle du récepteur, à condition que les horloges des quatre satellites soit parfaitement synchronisées. Ce lancement est donc un grand pas en avant pour Galileo et sera suivi de 10 autres (au moins 2 satellites par lancement) jusqu'en 2014. Lorsqu'il sera opérationnel, le système Galileo garantira l'autonomie de l'Union européenne vis-à-vis des États-Unis et de la Russie dans ce domaine stratégique, notamment dans les applications militaires, et déploiera des facultés avancées par rapport à celles présentement offertes par le GPS des États-Unis ou GLONASS de la Russie.
union européenne, lancement, satellite, galileo, spatial, gps, états-unis, russie, glonass
Extrais les mots clés importants du texte suivant : Union européenne : Lancement prévu aujourd'hui de deux satellites du programme Galileo C'est aujourd'hui, à 18h15 UTC qu'une fusée Soyouz devrait lancer les satellites n° 3 et 4 depuis le centre spatial guyanais de Kourou. Si tout se passe comme prévu, les tests pourront démarrer. En effet, comme pour le système américain GPS dont nous disposons actuellement, il faut un minimum de quatre satellites visibles depuis le récepteur pour calculer avec précision sa position. Le cœur du système est la précision des horloges atomiques dont il est doté. Pour simplifier la compréhension du fonctionnement de ce système, il faut savoir que le récepteur calcule la distance qui le sépare de chacun des satellites en fonction de l'intervalle de temps compris entre l'émission d'un signal radioélectrique par ces derniers et la réception de ce signal. Si l'horloge du récepteur était rigoureusement synchronisée avec celle du satellite , cette donnée positionnerait le récepteur sur une sphère dont le rayon est proportionnel à cet intervalle de temps. En pratique, l'horloge du satellite et celle du récepteur ne sont pas synchronisées, d'où une erreur de position si l'on retient le calcul brut. Par contre, si tous les satellites ont des horloges parfaitement synchronisées, il est possible de connaître avec précision le décalage entre ces dernières et celle du récepteur, et de corriger les rayons de manière à obtenir un positionnement précis. Cela revient donc à résoudre un système de quatre équations à quatre inconnues : les coordonnées du récepteur en x, y et z et le décalage entre les horloges atomiques des satellites et l'horloge du récepteur. En d'autres termes : Le signal d'un premier satellite positionne le récepteur dans une sphère dont le satellite est le centre (rayon connu à corriger du décalage cité plus haut). Le signal d'un second satellite positionne le récepteur à l'intersection de deux sphères, donc sur un cercle. Le signal reçu d'un troisième satellite le positionne à l'intersection de ce cercle avec une troisième sphère, donc en 1 point (deux, en réalité, mais un seul situé plus près de la terre que les satellites. Le signal reçu du quatrième récepteur permet de déterminer l'écart entre les horloges des satellites et celle du récepteur, à condition que les horloges des quatre satellites soit parfaitement synchronisées. Ce lancement est donc un grand pas en avant pour Galileo et sera suivi de 10 autres (au moins 2 satellites par lancement) jusqu'en 2014. Lorsqu'il sera opérationnel, le système Galileo garantira l'autonomie de l'Union européenne vis-à-vis des États-Unis et de la Russie dans ce domaine stratégique, notamment dans les applications militaires, et déploiera des facultés avancées par rapport à celles présentement offertes par le GPS des États-Unis ou GLONASS de la Russie.
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Extrayez les mots clés importants du texte suivant : Union européenne : Lancement prévu aujourd'hui de deux satellites du programme Galileo C'est aujourd'hui, à 18h15 UTC qu'une fusée Soyouz devrait lancer les satellites n° 3 et 4 depuis le centre spatial guyanais de Kourou. Si tout se passe comme prévu, les tests pourront démarrer. En effet, comme pour le système américain GPS dont nous disposons actuellement, il faut un minimum de quatre satellites visibles depuis le récepteur pour calculer avec précision sa position. Le cœur du système est la précision des horloges atomiques dont il est doté. Pour simplifier la compréhension du fonctionnement de ce système, il faut savoir que le récepteur calcule la distance qui le sépare de chacun des satellites en fonction de l'intervalle de temps compris entre l'émission d'un signal radioélectrique par ces derniers et la réception de ce signal. Si l'horloge du récepteur était rigoureusement synchronisée avec celle du satellite , cette donnée positionnerait le récepteur sur une sphère dont le rayon est proportionnel à cet intervalle de temps. En pratique, l'horloge du satellite et celle du récepteur ne sont pas synchronisées, d'où une erreur de position si l'on retient le calcul brut. Par contre, si tous les satellites ont des horloges parfaitement synchronisées, il est possible de connaître avec précision le décalage entre ces dernières et celle du récepteur, et de corriger les rayons de manière à obtenir un positionnement précis. Cela revient donc à résoudre un système de quatre équations à quatre inconnues : les coordonnées du récepteur en x, y et z et le décalage entre les horloges atomiques des satellites et l'horloge du récepteur. En d'autres termes : Le signal d'un premier satellite positionne le récepteur dans une sphère dont le satellite est le centre (rayon connu à corriger du décalage cité plus haut). Le signal d'un second satellite positionne le récepteur à l'intersection de deux sphères, donc sur un cercle. Le signal reçu d'un troisième satellite le positionne à l'intersection de ce cercle avec une troisième sphère, donc en 1 point (deux, en réalité, mais un seul situé plus près de la terre que les satellites. Le signal reçu du quatrième récepteur permet de déterminer l'écart entre les horloges des satellites et celle du récepteur, à condition que les horloges des quatre satellites soit parfaitement synchronisées. Ce lancement est donc un grand pas en avant pour Galileo et sera suivi de 10 autres (au moins 2 satellites par lancement) jusqu'en 2014. Lorsqu'il sera opérationnel, le système Galileo garantira l'autonomie de l'Union européenne vis-à-vis des États-Unis et de la Russie dans ce domaine stratégique, notamment dans les applications militaires, et déploiera des facultés avancées par rapport à celles présentement offertes par le GPS des États-Unis ou GLONASS de la Russie.
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Isoler les mots clés importants du texte suivant : Union européenne : Lancement prévu aujourd'hui de deux satellites du programme Galileo C'est aujourd'hui, à 18h15 UTC qu'une fusée Soyouz devrait lancer les satellites n° 3 et 4 depuis le centre spatial guyanais de Kourou. Si tout se passe comme prévu, les tests pourront démarrer. En effet, comme pour le système américain GPS dont nous disposons actuellement, il faut un minimum de quatre satellites visibles depuis le récepteur pour calculer avec précision sa position. Le cœur du système est la précision des horloges atomiques dont il est doté. Pour simplifier la compréhension du fonctionnement de ce système, il faut savoir que le récepteur calcule la distance qui le sépare de chacun des satellites en fonction de l'intervalle de temps compris entre l'émission d'un signal radioélectrique par ces derniers et la réception de ce signal. Si l'horloge du récepteur était rigoureusement synchronisée avec celle du satellite , cette donnée positionnerait le récepteur sur une sphère dont le rayon est proportionnel à cet intervalle de temps. En pratique, l'horloge du satellite et celle du récepteur ne sont pas synchronisées, d'où une erreur de position si l'on retient le calcul brut. Par contre, si tous les satellites ont des horloges parfaitement synchronisées, il est possible de connaître avec précision le décalage entre ces dernières et celle du récepteur, et de corriger les rayons de manière à obtenir un positionnement précis. Cela revient donc à résoudre un système de quatre équations à quatre inconnues : les coordonnées du récepteur en x, y et z et le décalage entre les horloges atomiques des satellites et l'horloge du récepteur. En d'autres termes : Le signal d'un premier satellite positionne le récepteur dans une sphère dont le satellite est le centre (rayon connu à corriger du décalage cité plus haut). Le signal d'un second satellite positionne le récepteur à l'intersection de deux sphères, donc sur un cercle. Le signal reçu d'un troisième satellite le positionne à l'intersection de ce cercle avec une troisième sphère, donc en 1 point (deux, en réalité, mais un seul situé plus près de la terre que les satellites. Le signal reçu du quatrième récepteur permet de déterminer l'écart entre les horloges des satellites et celle du récepteur, à condition que les horloges des quatre satellites soit parfaitement synchronisées. Ce lancement est donc un grand pas en avant pour Galileo et sera suivi de 10 autres (au moins 2 satellites par lancement) jusqu'en 2014. Lorsqu'il sera opérationnel, le système Galileo garantira l'autonomie de l'Union européenne vis-à-vis des États-Unis et de la Russie dans ce domaine stratégique, notamment dans les applications militaires, et déploiera des facultés avancées par rapport à celles présentement offertes par le GPS des États-Unis ou GLONASS de la Russie.
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Isole les mots clés importants du texte suivant : Union européenne : Lancement prévu aujourd'hui de deux satellites du programme Galileo C'est aujourd'hui, à 18h15 UTC qu'une fusée Soyouz devrait lancer les satellites n° 3 et 4 depuis le centre spatial guyanais de Kourou. Si tout se passe comme prévu, les tests pourront démarrer. En effet, comme pour le système américain GPS dont nous disposons actuellement, il faut un minimum de quatre satellites visibles depuis le récepteur pour calculer avec précision sa position. Le cœur du système est la précision des horloges atomiques dont il est doté. Pour simplifier la compréhension du fonctionnement de ce système, il faut savoir que le récepteur calcule la distance qui le sépare de chacun des satellites en fonction de l'intervalle de temps compris entre l'émission d'un signal radioélectrique par ces derniers et la réception de ce signal. Si l'horloge du récepteur était rigoureusement synchronisée avec celle du satellite , cette donnée positionnerait le récepteur sur une sphère dont le rayon est proportionnel à cet intervalle de temps. En pratique, l'horloge du satellite et celle du récepteur ne sont pas synchronisées, d'où une erreur de position si l'on retient le calcul brut. Par contre, si tous les satellites ont des horloges parfaitement synchronisées, il est possible de connaître avec précision le décalage entre ces dernières et celle du récepteur, et de corriger les rayons de manière à obtenir un positionnement précis. Cela revient donc à résoudre un système de quatre équations à quatre inconnues : les coordonnées du récepteur en x, y et z et le décalage entre les horloges atomiques des satellites et l'horloge du récepteur. En d'autres termes : Le signal d'un premier satellite positionne le récepteur dans une sphère dont le satellite est le centre (rayon connu à corriger du décalage cité plus haut). Le signal d'un second satellite positionne le récepteur à l'intersection de deux sphères, donc sur un cercle. Le signal reçu d'un troisième satellite le positionne à l'intersection de ce cercle avec une troisième sphère, donc en 1 point (deux, en réalité, mais un seul situé plus près de la terre que les satellites. Le signal reçu du quatrième récepteur permet de déterminer l'écart entre les horloges des satellites et celle du récepteur, à condition que les horloges des quatre satellites soit parfaitement synchronisées. Ce lancement est donc un grand pas en avant pour Galileo et sera suivi de 10 autres (au moins 2 satellites par lancement) jusqu'en 2014. Lorsqu'il sera opérationnel, le système Galileo garantira l'autonomie de l'Union européenne vis-à-vis des États-Unis et de la Russie dans ce domaine stratégique, notamment dans les applications militaires, et déploiera des facultés avancées par rapport à celles présentement offertes par le GPS des États-Unis ou GLONASS de la Russie.
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Repérer les mots clés importants présents dans le texte suivant : Union européenne : Lancement prévu aujourd'hui de deux satellites du programme Galileo C'est aujourd'hui, à 18h15 UTC qu'une fusée Soyouz devrait lancer les satellites n° 3 et 4 depuis le centre spatial guyanais de Kourou. Si tout se passe comme prévu, les tests pourront démarrer. En effet, comme pour le système américain GPS dont nous disposons actuellement, il faut un minimum de quatre satellites visibles depuis le récepteur pour calculer avec précision sa position. Le cœur du système est la précision des horloges atomiques dont il est doté. Pour simplifier la compréhension du fonctionnement de ce système, il faut savoir que le récepteur calcule la distance qui le sépare de chacun des satellites en fonction de l'intervalle de temps compris entre l'émission d'un signal radioélectrique par ces derniers et la réception de ce signal. Si l'horloge du récepteur était rigoureusement synchronisée avec celle du satellite , cette donnée positionnerait le récepteur sur une sphère dont le rayon est proportionnel à cet intervalle de temps. En pratique, l'horloge du satellite et celle du récepteur ne sont pas synchronisées, d'où une erreur de position si l'on retient le calcul brut. Par contre, si tous les satellites ont des horloges parfaitement synchronisées, il est possible de connaître avec précision le décalage entre ces dernières et celle du récepteur, et de corriger les rayons de manière à obtenir un positionnement précis. Cela revient donc à résoudre un système de quatre équations à quatre inconnues : les coordonnées du récepteur en x, y et z et le décalage entre les horloges atomiques des satellites et l'horloge du récepteur. En d'autres termes : Le signal d'un premier satellite positionne le récepteur dans une sphère dont le satellite est le centre (rayon connu à corriger du décalage cité plus haut). Le signal d'un second satellite positionne le récepteur à l'intersection de deux sphères, donc sur un cercle. Le signal reçu d'un troisième satellite le positionne à l'intersection de ce cercle avec une troisième sphère, donc en 1 point (deux, en réalité, mais un seul situé plus près de la terre que les satellites. Le signal reçu du quatrième récepteur permet de déterminer l'écart entre les horloges des satellites et celle du récepteur, à condition que les horloges des quatre satellites soit parfaitement synchronisées. Ce lancement est donc un grand pas en avant pour Galileo et sera suivi de 10 autres (au moins 2 satellites par lancement) jusqu'en 2014. Lorsqu'il sera opérationnel, le système Galileo garantira l'autonomie de l'Union européenne vis-à-vis des États-Unis et de la Russie dans ce domaine stratégique, notamment dans les applications militaires, et déploiera des facultés avancées par rapport à celles présentement offertes par le GPS des États-Unis ou GLONASS de la Russie.
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Repère les mots clés importants présents dans le texte suivant : Union européenne : Lancement prévu aujourd'hui de deux satellites du programme Galileo C'est aujourd'hui, à 18h15 UTC qu'une fusée Soyouz devrait lancer les satellites n° 3 et 4 depuis le centre spatial guyanais de Kourou. Si tout se passe comme prévu, les tests pourront démarrer. En effet, comme pour le système américain GPS dont nous disposons actuellement, il faut un minimum de quatre satellites visibles depuis le récepteur pour calculer avec précision sa position. Le cœur du système est la précision des horloges atomiques dont il est doté. Pour simplifier la compréhension du fonctionnement de ce système, il faut savoir que le récepteur calcule la distance qui le sépare de chacun des satellites en fonction de l'intervalle de temps compris entre l'émission d'un signal radioélectrique par ces derniers et la réception de ce signal. Si l'horloge du récepteur était rigoureusement synchronisée avec celle du satellite , cette donnée positionnerait le récepteur sur une sphère dont le rayon est proportionnel à cet intervalle de temps. En pratique, l'horloge du satellite et celle du récepteur ne sont pas synchronisées, d'où une erreur de position si l'on retient le calcul brut. Par contre, si tous les satellites ont des horloges parfaitement synchronisées, il est possible de connaître avec précision le décalage entre ces dernières et celle du récepteur, et de corriger les rayons de manière à obtenir un positionnement précis. Cela revient donc à résoudre un système de quatre équations à quatre inconnues : les coordonnées du récepteur en x, y et z et le décalage entre les horloges atomiques des satellites et l'horloge du récepteur. En d'autres termes : Le signal d'un premier satellite positionne le récepteur dans une sphère dont le satellite est le centre (rayon connu à corriger du décalage cité plus haut). Le signal d'un second satellite positionne le récepteur à l'intersection de deux sphères, donc sur un cercle. Le signal reçu d'un troisième satellite le positionne à l'intersection de ce cercle avec une troisième sphère, donc en 1 point (deux, en réalité, mais un seul situé plus près de la terre que les satellites. Le signal reçu du quatrième récepteur permet de déterminer l'écart entre les horloges des satellites et celle du récepteur, à condition que les horloges des quatre satellites soit parfaitement synchronisées. Ce lancement est donc un grand pas en avant pour Galileo et sera suivi de 10 autres (au moins 2 satellites par lancement) jusqu'en 2014. Lorsqu'il sera opérationnel, le système Galileo garantira l'autonomie de l'Union européenne vis-à-vis des États-Unis et de la Russie dans ce domaine stratégique, notamment dans les applications militaires, et déploiera des facultés avancées par rapport à celles présentement offertes par le GPS des États-Unis ou GLONASS de la Russie.
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Repérez les mots clés importants présents dans le texte suivant : Union européenne : Lancement prévu aujourd'hui de deux satellites du programme Galileo C'est aujourd'hui, à 18h15 UTC qu'une fusée Soyouz devrait lancer les satellites n° 3 et 4 depuis le centre spatial guyanais de Kourou. Si tout se passe comme prévu, les tests pourront démarrer. En effet, comme pour le système américain GPS dont nous disposons actuellement, il faut un minimum de quatre satellites visibles depuis le récepteur pour calculer avec précision sa position. Le cœur du système est la précision des horloges atomiques dont il est doté. Pour simplifier la compréhension du fonctionnement de ce système, il faut savoir que le récepteur calcule la distance qui le sépare de chacun des satellites en fonction de l'intervalle de temps compris entre l'émission d'un signal radioélectrique par ces derniers et la réception de ce signal. Si l'horloge du récepteur était rigoureusement synchronisée avec celle du satellite , cette donnée positionnerait le récepteur sur une sphère dont le rayon est proportionnel à cet intervalle de temps. En pratique, l'horloge du satellite et celle du récepteur ne sont pas synchronisées, d'où une erreur de position si l'on retient le calcul brut. Par contre, si tous les satellites ont des horloges parfaitement synchronisées, il est possible de connaître avec précision le décalage entre ces dernières et celle du récepteur, et de corriger les rayons de manière à obtenir un positionnement précis. Cela revient donc à résoudre un système de quatre équations à quatre inconnues : les coordonnées du récepteur en x, y et z et le décalage entre les horloges atomiques des satellites et l'horloge du récepteur. En d'autres termes : Le signal d'un premier satellite positionne le récepteur dans une sphère dont le satellite est le centre (rayon connu à corriger du décalage cité plus haut). Le signal d'un second satellite positionne le récepteur à l'intersection de deux sphères, donc sur un cercle. Le signal reçu d'un troisième satellite le positionne à l'intersection de ce cercle avec une troisième sphère, donc en 1 point (deux, en réalité, mais un seul situé plus près de la terre que les satellites. Le signal reçu du quatrième récepteur permet de déterminer l'écart entre les horloges des satellites et celle du récepteur, à condition que les horloges des quatre satellites soit parfaitement synchronisées. Ce lancement est donc un grand pas en avant pour Galileo et sera suivi de 10 autres (au moins 2 satellites par lancement) jusqu'en 2014. Lorsqu'il sera opérationnel, le système Galileo garantira l'autonomie de l'Union européenne vis-à-vis des États-Unis et de la Russie dans ce domaine stratégique, notamment dans les applications militaires, et déploiera des facultés avancées par rapport à celles présentement offertes par le GPS des États-Unis ou GLONASS de la Russie.
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Indiquer les mots clés du texte : Union européenne : Lancement prévu aujourd'hui de deux satellites du programme Galileo C'est aujourd'hui, à 18h15 UTC qu'une fusée Soyouz devrait lancer les satellites n° 3 et 4 depuis le centre spatial guyanais de Kourou. Si tout se passe comme prévu, les tests pourront démarrer. En effet, comme pour le système américain GPS dont nous disposons actuellement, il faut un minimum de quatre satellites visibles depuis le récepteur pour calculer avec précision sa position. Le cœur du système est la précision des horloges atomiques dont il est doté. Pour simplifier la compréhension du fonctionnement de ce système, il faut savoir que le récepteur calcule la distance qui le sépare de chacun des satellites en fonction de l'intervalle de temps compris entre l'émission d'un signal radioélectrique par ces derniers et la réception de ce signal. Si l'horloge du récepteur était rigoureusement synchronisée avec celle du satellite , cette donnée positionnerait le récepteur sur une sphère dont le rayon est proportionnel à cet intervalle de temps. En pratique, l'horloge du satellite et celle du récepteur ne sont pas synchronisées, d'où une erreur de position si l'on retient le calcul brut. Par contre, si tous les satellites ont des horloges parfaitement synchronisées, il est possible de connaître avec précision le décalage entre ces dernières et celle du récepteur, et de corriger les rayons de manière à obtenir un positionnement précis. Cela revient donc à résoudre un système de quatre équations à quatre inconnues : les coordonnées du récepteur en x, y et z et le décalage entre les horloges atomiques des satellites et l'horloge du récepteur. En d'autres termes : Le signal d'un premier satellite positionne le récepteur dans une sphère dont le satellite est le centre (rayon connu à corriger du décalage cité plus haut). Le signal d'un second satellite positionne le récepteur à l'intersection de deux sphères, donc sur un cercle. Le signal reçu d'un troisième satellite le positionne à l'intersection de ce cercle avec une troisième sphère, donc en 1 point (deux, en réalité, mais un seul situé plus près de la terre que les satellites. Le signal reçu du quatrième récepteur permet de déterminer l'écart entre les horloges des satellites et celle du récepteur, à condition que les horloges des quatre satellites soit parfaitement synchronisées. Ce lancement est donc un grand pas en avant pour Galileo et sera suivi de 10 autres (au moins 2 satellites par lancement) jusqu'en 2014. Lorsqu'il sera opérationnel, le système Galileo garantira l'autonomie de l'Union européenne vis-à-vis des États-Unis et de la Russie dans ce domaine stratégique, notamment dans les applications militaires, et déploiera des facultés avancées par rapport à celles présentement offertes par le GPS des États-Unis ou GLONASS de la Russie.
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Indiquer les mots clés du texte : Union européenne : Lancement prévu aujourd'hui de deux satellites du programme Galileo C'est aujourd'hui, à 18h15 UTC qu'une fusée Soyouz devrait lancer les satellites n° 3 et 4 depuis le centre spatial guyanais de Kourou. Si tout se passe comme prévu, les tests pourront démarrer. En effet, comme pour le système américain GPS dont nous disposons actuellement, il faut un minimum de quatre satellites visibles depuis le récepteur pour calculer avec précision sa position. Le cœur du système est la précision des horloges atomiques dont il est doté. Pour simplifier la compréhension du fonctionnement de ce système, il faut savoir que le récepteur calcule la distance qui le sépare de chacun des satellites en fonction de l'intervalle de temps compris entre l'émission d'un signal radioélectrique par ces derniers et la réception de ce signal. Si l'horloge du récepteur était rigoureusement synchronisée avec celle du satellite , cette donnée positionnerait le récepteur sur une sphère dont le rayon est proportionnel à cet intervalle de temps. En pratique, l'horloge du satellite et celle du récepteur ne sont pas synchronisées, d'où une erreur de position si l'on retient le calcul brut. Par contre, si tous les satellites ont des horloges parfaitement synchronisées, il est possible de connaître avec précision le décalage entre ces dernières et celle du récepteur, et de corriger les rayons de manière à obtenir un positionnement précis. Cela revient donc à résoudre un système de quatre équations à quatre inconnues : les coordonnées du récepteur en x, y et z et le décalage entre les horloges atomiques des satellites et l'horloge du récepteur. En d'autres termes : Le signal d'un premier satellite positionne le récepteur dans une sphère dont le satellite est le centre (rayon connu à corriger du décalage cité plus haut). Le signal d'un second satellite positionne le récepteur à l'intersection de deux sphères, donc sur un cercle. Le signal reçu d'un troisième satellite le positionne à l'intersection de ce cercle avec une troisième sphère, donc en 1 point (deux, en réalité, mais un seul situé plus près de la terre que les satellites. Le signal reçu du quatrième récepteur permet de déterminer l'écart entre les horloges des satellites et celle du récepteur, à condition que les horloges des quatre satellites soit parfaitement synchronisées. Ce lancement est donc un grand pas en avant pour Galileo et sera suivi de 10 autres (au moins 2 satellites par lancement) jusqu'en 2014. Lorsqu'il sera opérationnel, le système Galileo garantira l'autonomie de l'Union européenne vis-à-vis des États-Unis et de la Russie dans ce domaine stratégique, notamment dans les applications militaires, et déploiera des facultés avancées par rapport à celles présentement offertes par le GPS des États-Unis ou GLONASS de la Russie.
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Extraire les mots clés importants du texte suivant : Birmanie : abolition de la censure La Birmanie a officiellement abolit la censure aujourd'hui. Les dernières restrictions qui pesaient sur les publications en charge des sujets politiques et religieux ont été levé par le ministère de l'Information. Jusqu'à présent, les journaux avaient obligation d'envoyer les brouillons de leurs articles avant publication. Selon le classement mondial 2011-2012 établit par Reporters sans frontières, la Birmanie est classé 169e, autrement dit parmi les pires pays de la planète en matière de liberté de la presse. Mais déjà l'organisation notait une légère amélioration à la suite des changements politiques intervenus ces derniers mois. En effet, un nouveau régime a vu le jour en mars 2011, quelques mois après la libération de la prix Nobel de la paix Aung San Suu Kyi. La libération de plusieurs journalistes ainsi que d'autres prisonniers politiques ces derniers mois annonçait la tendance.
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Extrais les mots clés importants du texte suivant : Birmanie : abolition de la censure La Birmanie a officiellement abolit la censure aujourd'hui. Les dernières restrictions qui pesaient sur les publications en charge des sujets politiques et religieux ont été levé par le ministère de l'Information. Jusqu'à présent, les journaux avaient obligation d'envoyer les brouillons de leurs articles avant publication. Selon le classement mondial 2011-2012 établit par Reporters sans frontières, la Birmanie est classé 169e, autrement dit parmi les pires pays de la planète en matière de liberté de la presse. Mais déjà l'organisation notait une légère amélioration à la suite des changements politiques intervenus ces derniers mois. En effet, un nouveau régime a vu le jour en mars 2011, quelques mois après la libération de la prix Nobel de la paix Aung San Suu Kyi. La libération de plusieurs journalistes ainsi que d'autres prisonniers politiques ces derniers mois annonçait la tendance.
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Extrayez les mots clés importants du texte suivant : Birmanie : abolition de la censure La Birmanie a officiellement abolit la censure aujourd'hui. Les dernières restrictions qui pesaient sur les publications en charge des sujets politiques et religieux ont été levé par le ministère de l'Information. Jusqu'à présent, les journaux avaient obligation d'envoyer les brouillons de leurs articles avant publication. Selon le classement mondial 2011-2012 établit par Reporters sans frontières, la Birmanie est classé 169e, autrement dit parmi les pires pays de la planète en matière de liberté de la presse. Mais déjà l'organisation notait une légère amélioration à la suite des changements politiques intervenus ces derniers mois. En effet, un nouveau régime a vu le jour en mars 2011, quelques mois après la libération de la prix Nobel de la paix Aung San Suu Kyi. La libération de plusieurs journalistes ainsi que d'autres prisonniers politiques ces derniers mois annonçait la tendance.
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Isoler les mots clés importants du texte suivant : Birmanie : abolition de la censure La Birmanie a officiellement abolit la censure aujourd'hui. Les dernières restrictions qui pesaient sur les publications en charge des sujets politiques et religieux ont été levé par le ministère de l'Information. Jusqu'à présent, les journaux avaient obligation d'envoyer les brouillons de leurs articles avant publication. Selon le classement mondial 2011-2012 établit par Reporters sans frontières, la Birmanie est classé 169e, autrement dit parmi les pires pays de la planète en matière de liberté de la presse. Mais déjà l'organisation notait une légère amélioration à la suite des changements politiques intervenus ces derniers mois. En effet, un nouveau régime a vu le jour en mars 2011, quelques mois après la libération de la prix Nobel de la paix Aung San Suu Kyi. La libération de plusieurs journalistes ainsi que d'autres prisonniers politiques ces derniers mois annonçait la tendance.
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Isole les mots clés importants du texte suivant : Birmanie : abolition de la censure La Birmanie a officiellement abolit la censure aujourd'hui. Les dernières restrictions qui pesaient sur les publications en charge des sujets politiques et religieux ont été levé par le ministère de l'Information. Jusqu'à présent, les journaux avaient obligation d'envoyer les brouillons de leurs articles avant publication. Selon le classement mondial 2011-2012 établit par Reporters sans frontières, la Birmanie est classé 169e, autrement dit parmi les pires pays de la planète en matière de liberté de la presse. Mais déjà l'organisation notait une légère amélioration à la suite des changements politiques intervenus ces derniers mois. En effet, un nouveau régime a vu le jour en mars 2011, quelques mois après la libération de la prix Nobel de la paix Aung San Suu Kyi. La libération de plusieurs journalistes ainsi que d'autres prisonniers politiques ces derniers mois annonçait la tendance.
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Isolez les mots clés importants du texte suivant : Birmanie : abolition de la censure La Birmanie a officiellement abolit la censure aujourd'hui. Les dernières restrictions qui pesaient sur les publications en charge des sujets politiques et religieux ont été levé par le ministère de l'Information. Jusqu'à présent, les journaux avaient obligation d'envoyer les brouillons de leurs articles avant publication. Selon le classement mondial 2011-2012 établit par Reporters sans frontières, la Birmanie est classé 169e, autrement dit parmi les pires pays de la planète en matière de liberté de la presse. Mais déjà l'organisation notait une légère amélioration à la suite des changements politiques intervenus ces derniers mois. En effet, un nouveau régime a vu le jour en mars 2011, quelques mois après la libération de la prix Nobel de la paix Aung San Suu Kyi. La libération de plusieurs journalistes ainsi que d'autres prisonniers politiques ces derniers mois annonçait la tendance.
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