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Isole les mots clés importants du texte suivant : Égypte : une journaliste de France 24 victime d'une violente agression au Caire La correspondante de la chaîne de télévision France 24 en Egypte, Sonia Dridi, affirme avoir été agressée sexuellement alors qu'elle se trouvait vendredi sur la place Tahrir du Caire. Elle raconte avoir été encerclée par une foule composée majoritairement de jeunes hommes, qui ont commencé à la toucher alors qu'elle intervenait en direct sur la chaîne d'information en continu internationale. L'agression a duré plusieurs minutes, avant qu'elle soit secourue par son collègue Ashraf Khalil, correspondant égyptien pour la chaîne en langue anglaise de France 24, et par d’autres témoins. J'ai été agrippée de partout. J'ai réalisé (plus tard), quand quelqu'un a reboutonné ma chemise, qu'elle était ouverte, mais pas déchirée. J'ai évité le pire grâce à la ceinture solide [que je portais] —Sonia Dridi, journaliste Les journalistes de France 24 sont maintenant en sécurité, sains et saufs, mais extrêmement choqués, a indiqué leur direction. Ils vont déposer une plainte contre X. D'autre part, la direction de la chaîne de l'audiovisuel extérieur de la France a fermement condamné les agressions à répétition contre toutes les journalistes, « qui doivent pouvoir exercer librement leur métier partout dans le monde ». La chaîne met « tout en œuvre, avec le soutien de l’ambassade de France au Caire, pour assurer la sécurité et le rapatriement en France de sa correspondante ». Dans les rues de la capitale, le harcèlement des femmes, qu'elles soient voilées ou non, les remarques obscènes et parfois les gestes déplacés sont un phénomène courant. Depuis quelques temps, les témoignages venant de la place Tahrir faisant état de véritables agressions sexuelles, voire des viols, se sont multipliés, sans provoquer de réaction des autorités. Lors d'affaires semblables, la police n'était pas parvenue à arrêter les responsables.
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Isolez les mots clés importants du texte suivant : Égypte : une journaliste de France 24 victime d'une violente agression au Caire La correspondante de la chaîne de télévision France 24 en Egypte, Sonia Dridi, affirme avoir été agressée sexuellement alors qu'elle se trouvait vendredi sur la place Tahrir du Caire. Elle raconte avoir été encerclée par une foule composée majoritairement de jeunes hommes, qui ont commencé à la toucher alors qu'elle intervenait en direct sur la chaîne d'information en continu internationale. L'agression a duré plusieurs minutes, avant qu'elle soit secourue par son collègue Ashraf Khalil, correspondant égyptien pour la chaîne en langue anglaise de France 24, et par d’autres témoins. J'ai été agrippée de partout. J'ai réalisé (plus tard), quand quelqu'un a reboutonné ma chemise, qu'elle était ouverte, mais pas déchirée. J'ai évité le pire grâce à la ceinture solide [que je portais] —Sonia Dridi, journaliste Les journalistes de France 24 sont maintenant en sécurité, sains et saufs, mais extrêmement choqués, a indiqué leur direction. Ils vont déposer une plainte contre X. D'autre part, la direction de la chaîne de l'audiovisuel extérieur de la France a fermement condamné les agressions à répétition contre toutes les journalistes, « qui doivent pouvoir exercer librement leur métier partout dans le monde ». La chaîne met « tout en œuvre, avec le soutien de l’ambassade de France au Caire, pour assurer la sécurité et le rapatriement en France de sa correspondante ». Dans les rues de la capitale, le harcèlement des femmes, qu'elles soient voilées ou non, les remarques obscènes et parfois les gestes déplacés sont un phénomène courant. Depuis quelques temps, les témoignages venant de la place Tahrir faisant état de véritables agressions sexuelles, voire des viols, se sont multipliés, sans provoquer de réaction des autorités. Lors d'affaires semblables, la police n'était pas parvenue à arrêter les responsables.
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Extraire les mots clés importants du texte suivant : Informatique : célébration du centenaire de la naissance d'Alan Turing La Grande-Bretagne et la communauté scientifique internationale fêtent aujourd'hui le centenaire d'Alan Turing, mathématicien britannique et l'un des pionniers de l'informatique. Pendant la Seconde Guerre mondiale, Alan Turing est connu pour avoir brisé les codes secrets des nazis et pour avoir tenté de hacker des codes japonais. Après la guerre, il lance le programme ACE (Automatic Computing Engine) en 1945 et entre à l'université de Manchester en 1948 où il participe à la création de la première unité centrale avec programmes résidents dans la mémoire. En 1950, Alan Turing explore le problème de l'intelligence artificielle dans son test de Turing. Il est assigné en mars 1952 pour homosexualité, illégale en Grande-Bretagne jusqu'en 1967, et choisit de suivre un traitement chimique pour éviter la captivité. Il se suicide deux ans après par empoisonnement au cyanure. La plus importante conférence se tiendra à l'université anglaise de Manchester en compagnie de personnalités réputées comme le champion du monde d'échecs Garry Kasparov et une sélection d'informaticiens de très haut niveau.
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Extraire les mots clés importants du texte suivant : France : PSA va supprimer 8 000 emplois L'annonce est tombée ce matin, l'entreprise PSA Peugeot Citroën va supprimer pas moins de 8 000 postes en France. Parmi ces coupes, on retrouve la fermeture annoncée de l'usine d'Aulnay-sous-Bois d'ici à 2014, représentant la suppression de 3 000 emplois. L'entreprise prévoie également de supprimer 1 600 emplois dans son usine de Rennes, ainsi que 3 600 emplois dans l'administration, la recherche et développement et le commerce. Le président du directoire de PSA, Philippe Varin, a précisé que « personne ne sera laissé au bord du chemin » an ajoutant : « nous sommes conscients de nos responsabilités au cœur du tissu industriel français ». La suppression de ces postes est due à une chute des ventes (15,2 % de moins pour le marché européen au premier semestre 2012), ajoutée à une chute libre du titre en bourse (- 33 % pour le premier semestre 2012 et - 60 % en 2011). Cette chute des ventes s'explique par un mauvais positionnement de PSA dans le marché automobile qui se caractérise par la vente de voitures low-cost ou à très hauts prix. À la suite de cette annonce, le premier ministre Jean-Marc Ayrault s'est longuement entretenu avec Arnaud Montebourg, le ministre du redressement productif, qui a déclaré au Sénat que le gouvernement n'acceptait pas le plan en l'état. Philippe Varin a cependant réfuté l'idée d'un prêt par l’État affirmant : « nous avons une sécurité financière importante, ce qui fait que ce sujet n'est pas à l'ordre du jour » ; cette option sera cependant analysée en conseil des ministres. Toute la classe politique française a violemment réagi contre cette annonce, la droite pointant le doigt sur le manque de compétitivité des entreprises françaises, tandis que la gauche dénonce les héritages du précédent quinquennat présidentiel.
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Génère des mots clés issus du texte suivant : France : PSA va supprimer 8 000 emplois L'annonce est tombée ce matin, l'entreprise PSA Peugeot Citroën va supprimer pas moins de 8 000 postes en France. Parmi ces coupes, on retrouve la fermeture annoncée de l'usine d'Aulnay-sous-Bois d'ici à 2014, représentant la suppression de 3 000 emplois. L'entreprise prévoie également de supprimer 1 600 emplois dans son usine de Rennes, ainsi que 3 600 emplois dans l'administration, la recherche et développement et le commerce. Le président du directoire de PSA, Philippe Varin, a précisé que « personne ne sera laissé au bord du chemin » an ajoutant : « nous sommes conscients de nos responsabilités au cœur du tissu industriel français ». La suppression de ces postes est due à une chute des ventes (15,2 % de moins pour le marché européen au premier semestre 2012), ajoutée à une chute libre du titre en bourse (- 33 % pour le premier semestre 2012 et - 60 % en 2011). Cette chute des ventes s'explique par un mauvais positionnement de PSA dans le marché automobile qui se caractérise par la vente de voitures low-cost ou à très hauts prix. À la suite de cette annonce, le premier ministre Jean-Marc Ayrault s'est longuement entretenu avec Arnaud Montebourg, le ministre du redressement productif, qui a déclaré au Sénat que le gouvernement n'acceptait pas le plan en l'état. Philippe Varin a cependant réfuté l'idée d'un prêt par l’État affirmant : « nous avons une sécurité financière importante, ce qui fait que ce sujet n'est pas à l'ordre du jour » ; cette option sera cependant analysée en conseil des ministres. Toute la classe politique française a violemment réagi contre cette annonce, la droite pointant le doigt sur le manque de compétitivité des entreprises françaises, tandis que la gauche dénonce les héritages du précédent quinquennat présidentiel.
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Repérer les mots clés importants présents dans le texte suivant : France : PSA va supprimer 8 000 emplois L'annonce est tombée ce matin, l'entreprise PSA Peugeot Citroën va supprimer pas moins de 8 000 postes en France. Parmi ces coupes, on retrouve la fermeture annoncée de l'usine d'Aulnay-sous-Bois d'ici à 2014, représentant la suppression de 3 000 emplois. L'entreprise prévoie également de supprimer 1 600 emplois dans son usine de Rennes, ainsi que 3 600 emplois dans l'administration, la recherche et développement et le commerce. Le président du directoire de PSA, Philippe Varin, a précisé que « personne ne sera laissé au bord du chemin » an ajoutant : « nous sommes conscients de nos responsabilités au cœur du tissu industriel français ». La suppression de ces postes est due à une chute des ventes (15,2 % de moins pour le marché européen au premier semestre 2012), ajoutée à une chute libre du titre en bourse (- 33 % pour le premier semestre 2012 et - 60 % en 2011). Cette chute des ventes s'explique par un mauvais positionnement de PSA dans le marché automobile qui se caractérise par la vente de voitures low-cost ou à très hauts prix. À la suite de cette annonce, le premier ministre Jean-Marc Ayrault s'est longuement entretenu avec Arnaud Montebourg, le ministre du redressement productif, qui a déclaré au Sénat que le gouvernement n'acceptait pas le plan en l'état. Philippe Varin a cependant réfuté l'idée d'un prêt par l’État affirmant : « nous avons une sécurité financière importante, ce qui fait que ce sujet n'est pas à l'ordre du jour » ; cette option sera cependant analysée en conseil des ministres. Toute la classe politique française a violemment réagi contre cette annonce, la droite pointant le doigt sur le manque de compétitivité des entreprises françaises, tandis que la gauche dénonce les héritages du précédent quinquennat présidentiel.
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Repère les mots clés importants présents dans le texte suivant : France : PSA va supprimer 8 000 emplois L'annonce est tombée ce matin, l'entreprise PSA Peugeot Citroën va supprimer pas moins de 8 000 postes en France. Parmi ces coupes, on retrouve la fermeture annoncée de l'usine d'Aulnay-sous-Bois d'ici à 2014, représentant la suppression de 3 000 emplois. L'entreprise prévoie également de supprimer 1 600 emplois dans son usine de Rennes, ainsi que 3 600 emplois dans l'administration, la recherche et développement et le commerce. Le président du directoire de PSA, Philippe Varin, a précisé que « personne ne sera laissé au bord du chemin » an ajoutant : « nous sommes conscients de nos responsabilités au cœur du tissu industriel français ». La suppression de ces postes est due à une chute des ventes (15,2 % de moins pour le marché européen au premier semestre 2012), ajoutée à une chute libre du titre en bourse (- 33 % pour le premier semestre 2012 et - 60 % en 2011). Cette chute des ventes s'explique par un mauvais positionnement de PSA dans le marché automobile qui se caractérise par la vente de voitures low-cost ou à très hauts prix. À la suite de cette annonce, le premier ministre Jean-Marc Ayrault s'est longuement entretenu avec Arnaud Montebourg, le ministre du redressement productif, qui a déclaré au Sénat que le gouvernement n'acceptait pas le plan en l'état. Philippe Varin a cependant réfuté l'idée d'un prêt par l’État affirmant : « nous avons une sécurité financière importante, ce qui fait que ce sujet n'est pas à l'ordre du jour » ; cette option sera cependant analysée en conseil des ministres. Toute la classe politique française a violemment réagi contre cette annonce, la droite pointant le doigt sur le manque de compétitivité des entreprises françaises, tandis que la gauche dénonce les héritages du précédent quinquennat présidentiel.
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Repérez les mots clés importants présents dans le texte suivant : France : PSA va supprimer 8 000 emplois L'annonce est tombée ce matin, l'entreprise PSA Peugeot Citroën va supprimer pas moins de 8 000 postes en France. Parmi ces coupes, on retrouve la fermeture annoncée de l'usine d'Aulnay-sous-Bois d'ici à 2014, représentant la suppression de 3 000 emplois. L'entreprise prévoie également de supprimer 1 600 emplois dans son usine de Rennes, ainsi que 3 600 emplois dans l'administration, la recherche et développement et le commerce. Le président du directoire de PSA, Philippe Varin, a précisé que « personne ne sera laissé au bord du chemin » an ajoutant : « nous sommes conscients de nos responsabilités au cœur du tissu industriel français ». La suppression de ces postes est due à une chute des ventes (15,2 % de moins pour le marché européen au premier semestre 2012), ajoutée à une chute libre du titre en bourse (- 33 % pour le premier semestre 2012 et - 60 % en 2011). Cette chute des ventes s'explique par un mauvais positionnement de PSA dans le marché automobile qui se caractérise par la vente de voitures low-cost ou à très hauts prix. À la suite de cette annonce, le premier ministre Jean-Marc Ayrault s'est longuement entretenu avec Arnaud Montebourg, le ministre du redressement productif, qui a déclaré au Sénat que le gouvernement n'acceptait pas le plan en l'état. Philippe Varin a cependant réfuté l'idée d'un prêt par l’État affirmant : « nous avons une sécurité financière importante, ce qui fait que ce sujet n'est pas à l'ordre du jour » ; cette option sera cependant analysée en conseil des ministres. Toute la classe politique française a violemment réagi contre cette annonce, la droite pointant le doigt sur le manque de compétitivité des entreprises françaises, tandis que la gauche dénonce les héritages du précédent quinquennat présidentiel.
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Indiquer les mots clés du texte : France : PSA va supprimer 8 000 emplois L'annonce est tombée ce matin, l'entreprise PSA Peugeot Citroën va supprimer pas moins de 8 000 postes en France. Parmi ces coupes, on retrouve la fermeture annoncée de l'usine d'Aulnay-sous-Bois d'ici à 2014, représentant la suppression de 3 000 emplois. L'entreprise prévoie également de supprimer 1 600 emplois dans son usine de Rennes, ainsi que 3 600 emplois dans l'administration, la recherche et développement et le commerce. Le président du directoire de PSA, Philippe Varin, a précisé que « personne ne sera laissé au bord du chemin » an ajoutant : « nous sommes conscients de nos responsabilités au cœur du tissu industriel français ». La suppression de ces postes est due à une chute des ventes (15,2 % de moins pour le marché européen au premier semestre 2012), ajoutée à une chute libre du titre en bourse (- 33 % pour le premier semestre 2012 et - 60 % en 2011). Cette chute des ventes s'explique par un mauvais positionnement de PSA dans le marché automobile qui se caractérise par la vente de voitures low-cost ou à très hauts prix. À la suite de cette annonce, le premier ministre Jean-Marc Ayrault s'est longuement entretenu avec Arnaud Montebourg, le ministre du redressement productif, qui a déclaré au Sénat que le gouvernement n'acceptait pas le plan en l'état. Philippe Varin a cependant réfuté l'idée d'un prêt par l’État affirmant : « nous avons une sécurité financière importante, ce qui fait que ce sujet n'est pas à l'ordre du jour » ; cette option sera cependant analysée en conseil des ministres. Toute la classe politique française a violemment réagi contre cette annonce, la droite pointant le doigt sur le manque de compétitivité des entreprises françaises, tandis que la gauche dénonce les héritages du précédent quinquennat présidentiel.
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Extraire les mots clés importants du texte suivant : Afghanistan : l'armée française transfère le contrôle de la Kapisa à l'armée afghane L'armée française vient de transférer officiellement ce mercredi 4 juillet le contrôle de la province de la Kapisa, dernier territoire dont elle avait la responsabilité, aux forces de sécurité afghanes. La cérémonie de transfert s'est déroulée dans la ville de Mahmood-e-Raqi, capitale de la province, en présence de responsable afghans et de l'OTAN, où le drapeau afghan a été hissé sur le mât placé devant le siège des autorités provinciales, remplaçant celui de l'OTAN. Cependant, si la responsabilité de la province est confiée aux forces afghanes, l'armée française ne va pas retirer l'intégralité de ses forces comme le précise l'ambassadeur de France en Afghanistan, Bernard Bajolet : « Les forces françaises tournent une page importante en Kapisa mais, pour autant, la France ne va pas quitter la province puisqu'elle va continuer les projets d'aide lancés notamment en matière d'éducation, de santé, d'électrification et d'agriculture ». Ce transfert de responsabilité est une étape importante du retrait des forces françaises dans ce pays, dont le président français François Hollande vient d'accélérer le calendrier, en ordonnant le retrait de 2 000 des 3 550 soldats encore présents avant la fin de l'année 2012. Les 1 550 soldats qui resteront sur place après cette date seront chargés d'organiser le rapatriement du matériel, de former des forces de sécurité locales et de démonter certaines bases. L'OTAN prévoie de retirer l'intégralité de ses forces en 2014, bien que de nombreux experts restent sceptiques quant à la capacité des forces afghanes d'assurer à elles seules la sécurité et la stabilité du pays.
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Extrais les mots clés importants du texte suivant : Afghanistan : l'armée française transfère le contrôle de la Kapisa à l'armée afghane L'armée française vient de transférer officiellement ce mercredi 4 juillet le contrôle de la province de la Kapisa, dernier territoire dont elle avait la responsabilité, aux forces de sécurité afghanes. La cérémonie de transfert s'est déroulée dans la ville de Mahmood-e-Raqi, capitale de la province, en présence de responsable afghans et de l'OTAN, où le drapeau afghan a été hissé sur le mât placé devant le siège des autorités provinciales, remplaçant celui de l'OTAN. Cependant, si la responsabilité de la province est confiée aux forces afghanes, l'armée française ne va pas retirer l'intégralité de ses forces comme le précise l'ambassadeur de France en Afghanistan, Bernard Bajolet : « Les forces françaises tournent une page importante en Kapisa mais, pour autant, la France ne va pas quitter la province puisqu'elle va continuer les projets d'aide lancés notamment en matière d'éducation, de santé, d'électrification et d'agriculture ». Ce transfert de responsabilité est une étape importante du retrait des forces françaises dans ce pays, dont le président français François Hollande vient d'accélérer le calendrier, en ordonnant le retrait de 2 000 des 3 550 soldats encore présents avant la fin de l'année 2012. Les 1 550 soldats qui resteront sur place après cette date seront chargés d'organiser le rapatriement du matériel, de former des forces de sécurité locales et de démonter certaines bases. L'OTAN prévoie de retirer l'intégralité de ses forces en 2014, bien que de nombreux experts restent sceptiques quant à la capacité des forces afghanes d'assurer à elles seules la sécurité et la stabilité du pays.
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Extrayez les mots clés importants du texte suivant : Afghanistan : l'armée française transfère le contrôle de la Kapisa à l'armée afghane L'armée française vient de transférer officiellement ce mercredi 4 juillet le contrôle de la province de la Kapisa, dernier territoire dont elle avait la responsabilité, aux forces de sécurité afghanes. La cérémonie de transfert s'est déroulée dans la ville de Mahmood-e-Raqi, capitale de la province, en présence de responsable afghans et de l'OTAN, où le drapeau afghan a été hissé sur le mât placé devant le siège des autorités provinciales, remplaçant celui de l'OTAN. Cependant, si la responsabilité de la province est confiée aux forces afghanes, l'armée française ne va pas retirer l'intégralité de ses forces comme le précise l'ambassadeur de France en Afghanistan, Bernard Bajolet : « Les forces françaises tournent une page importante en Kapisa mais, pour autant, la France ne va pas quitter la province puisqu'elle va continuer les projets d'aide lancés notamment en matière d'éducation, de santé, d'électrification et d'agriculture ». Ce transfert de responsabilité est une étape importante du retrait des forces françaises dans ce pays, dont le président français François Hollande vient d'accélérer le calendrier, en ordonnant le retrait de 2 000 des 3 550 soldats encore présents avant la fin de l'année 2012. Les 1 550 soldats qui resteront sur place après cette date seront chargés d'organiser le rapatriement du matériel, de former des forces de sécurité locales et de démonter certaines bases. L'OTAN prévoie de retirer l'intégralité de ses forces en 2014, bien que de nombreux experts restent sceptiques quant à la capacité des forces afghanes d'assurer à elles seules la sécurité et la stabilité du pays.
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Isoler les mots clés importants du texte suivant : Afghanistan : l'armée française transfère le contrôle de la Kapisa à l'armée afghane L'armée française vient de transférer officiellement ce mercredi 4 juillet le contrôle de la province de la Kapisa, dernier territoire dont elle avait la responsabilité, aux forces de sécurité afghanes. La cérémonie de transfert s'est déroulée dans la ville de Mahmood-e-Raqi, capitale de la province, en présence de responsable afghans et de l'OTAN, où le drapeau afghan a été hissé sur le mât placé devant le siège des autorités provinciales, remplaçant celui de l'OTAN. Cependant, si la responsabilité de la province est confiée aux forces afghanes, l'armée française ne va pas retirer l'intégralité de ses forces comme le précise l'ambassadeur de France en Afghanistan, Bernard Bajolet : « Les forces françaises tournent une page importante en Kapisa mais, pour autant, la France ne va pas quitter la province puisqu'elle va continuer les projets d'aide lancés notamment en matière d'éducation, de santé, d'électrification et d'agriculture ». Ce transfert de responsabilité est une étape importante du retrait des forces françaises dans ce pays, dont le président français François Hollande vient d'accélérer le calendrier, en ordonnant le retrait de 2 000 des 3 550 soldats encore présents avant la fin de l'année 2012. Les 1 550 soldats qui resteront sur place après cette date seront chargés d'organiser le rapatriement du matériel, de former des forces de sécurité locales et de démonter certaines bases. L'OTAN prévoie de retirer l'intégralité de ses forces en 2014, bien que de nombreux experts restent sceptiques quant à la capacité des forces afghanes d'assurer à elles seules la sécurité et la stabilité du pays.
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Isole les mots clés importants du texte suivant : Afghanistan : l'armée française transfère le contrôle de la Kapisa à l'armée afghane L'armée française vient de transférer officiellement ce mercredi 4 juillet le contrôle de la province de la Kapisa, dernier territoire dont elle avait la responsabilité, aux forces de sécurité afghanes. La cérémonie de transfert s'est déroulée dans la ville de Mahmood-e-Raqi, capitale de la province, en présence de responsable afghans et de l'OTAN, où le drapeau afghan a été hissé sur le mât placé devant le siège des autorités provinciales, remplaçant celui de l'OTAN. Cependant, si la responsabilité de la province est confiée aux forces afghanes, l'armée française ne va pas retirer l'intégralité de ses forces comme le précise l'ambassadeur de France en Afghanistan, Bernard Bajolet : « Les forces françaises tournent une page importante en Kapisa mais, pour autant, la France ne va pas quitter la province puisqu'elle va continuer les projets d'aide lancés notamment en matière d'éducation, de santé, d'électrification et d'agriculture ». Ce transfert de responsabilité est une étape importante du retrait des forces françaises dans ce pays, dont le président français François Hollande vient d'accélérer le calendrier, en ordonnant le retrait de 2 000 des 3 550 soldats encore présents avant la fin de l'année 2012. Les 1 550 soldats qui resteront sur place après cette date seront chargés d'organiser le rapatriement du matériel, de former des forces de sécurité locales et de démonter certaines bases. L'OTAN prévoie de retirer l'intégralité de ses forces en 2014, bien que de nombreux experts restent sceptiques quant à la capacité des forces afghanes d'assurer à elles seules la sécurité et la stabilité du pays.
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Isolez les mots clés importants du texte suivant : Afghanistan : l'armée française transfère le contrôle de la Kapisa à l'armée afghane L'armée française vient de transférer officiellement ce mercredi 4 juillet le contrôle de la province de la Kapisa, dernier territoire dont elle avait la responsabilité, aux forces de sécurité afghanes. La cérémonie de transfert s'est déroulée dans la ville de Mahmood-e-Raqi, capitale de la province, en présence de responsable afghans et de l'OTAN, où le drapeau afghan a été hissé sur le mât placé devant le siège des autorités provinciales, remplaçant celui de l'OTAN. Cependant, si la responsabilité de la province est confiée aux forces afghanes, l'armée française ne va pas retirer l'intégralité de ses forces comme le précise l'ambassadeur de France en Afghanistan, Bernard Bajolet : « Les forces françaises tournent une page importante en Kapisa mais, pour autant, la France ne va pas quitter la province puisqu'elle va continuer les projets d'aide lancés notamment en matière d'éducation, de santé, d'électrification et d'agriculture ». Ce transfert de responsabilité est une étape importante du retrait des forces françaises dans ce pays, dont le président français François Hollande vient d'accélérer le calendrier, en ordonnant le retrait de 2 000 des 3 550 soldats encore présents avant la fin de l'année 2012. Les 1 550 soldats qui resteront sur place après cette date seront chargés d'organiser le rapatriement du matériel, de former des forces de sécurité locales et de démonter certaines bases. L'OTAN prévoie de retirer l'intégralité de ses forces en 2014, bien que de nombreux experts restent sceptiques quant à la capacité des forces afghanes d'assurer à elles seules la sécurité et la stabilité du pays.
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Dégager des mots clés dans le texte : Afghanistan : l'armée française transfère le contrôle de la Kapisa à l'armée afghane L'armée française vient de transférer officiellement ce mercredi 4 juillet le contrôle de la province de la Kapisa, dernier territoire dont elle avait la responsabilité, aux forces de sécurité afghanes. La cérémonie de transfert s'est déroulée dans la ville de Mahmood-e-Raqi, capitale de la province, en présence de responsable afghans et de l'OTAN, où le drapeau afghan a été hissé sur le mât placé devant le siège des autorités provinciales, remplaçant celui de l'OTAN. Cependant, si la responsabilité de la province est confiée aux forces afghanes, l'armée française ne va pas retirer l'intégralité de ses forces comme le précise l'ambassadeur de France en Afghanistan, Bernard Bajolet : « Les forces françaises tournent une page importante en Kapisa mais, pour autant, la France ne va pas quitter la province puisqu'elle va continuer les projets d'aide lancés notamment en matière d'éducation, de santé, d'électrification et d'agriculture ». Ce transfert de responsabilité est une étape importante du retrait des forces françaises dans ce pays, dont le président français François Hollande vient d'accélérer le calendrier, en ordonnant le retrait de 2 000 des 3 550 soldats encore présents avant la fin de l'année 2012. Les 1 550 soldats qui resteront sur place après cette date seront chargés d'organiser le rapatriement du matériel, de former des forces de sécurité locales et de démonter certaines bases. L'OTAN prévoie de retirer l'intégralité de ses forces en 2014, bien que de nombreux experts restent sceptiques quant à la capacité des forces afghanes d'assurer à elles seules la sécurité et la stabilité du pays.
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Dégage des mots clés dans le texte : Afghanistan : l'armée française transfère le contrôle de la Kapisa à l'armée afghane L'armée française vient de transférer officiellement ce mercredi 4 juillet le contrôle de la province de la Kapisa, dernier territoire dont elle avait la responsabilité, aux forces de sécurité afghanes. La cérémonie de transfert s'est déroulée dans la ville de Mahmood-e-Raqi, capitale de la province, en présence de responsable afghans et de l'OTAN, où le drapeau afghan a été hissé sur le mât placé devant le siège des autorités provinciales, remplaçant celui de l'OTAN. Cependant, si la responsabilité de la province est confiée aux forces afghanes, l'armée française ne va pas retirer l'intégralité de ses forces comme le précise l'ambassadeur de France en Afghanistan, Bernard Bajolet : « Les forces françaises tournent une page importante en Kapisa mais, pour autant, la France ne va pas quitter la province puisqu'elle va continuer les projets d'aide lancés notamment en matière d'éducation, de santé, d'électrification et d'agriculture ». Ce transfert de responsabilité est une étape importante du retrait des forces françaises dans ce pays, dont le président français François Hollande vient d'accélérer le calendrier, en ordonnant le retrait de 2 000 des 3 550 soldats encore présents avant la fin de l'année 2012. Les 1 550 soldats qui resteront sur place après cette date seront chargés d'organiser le rapatriement du matériel, de former des forces de sécurité locales et de démonter certaines bases. L'OTAN prévoie de retirer l'intégralité de ses forces en 2014, bien que de nombreux experts restent sceptiques quant à la capacité des forces afghanes d'assurer à elles seules la sécurité et la stabilité du pays.
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Dégagez des mots clés dans le texte : Afghanistan : l'armée française transfère le contrôle de la Kapisa à l'armée afghane L'armée française vient de transférer officiellement ce mercredi 4 juillet le contrôle de la province de la Kapisa, dernier territoire dont elle avait la responsabilité, aux forces de sécurité afghanes. La cérémonie de transfert s'est déroulée dans la ville de Mahmood-e-Raqi, capitale de la province, en présence de responsable afghans et de l'OTAN, où le drapeau afghan a été hissé sur le mât placé devant le siège des autorités provinciales, remplaçant celui de l'OTAN. Cependant, si la responsabilité de la province est confiée aux forces afghanes, l'armée française ne va pas retirer l'intégralité de ses forces comme le précise l'ambassadeur de France en Afghanistan, Bernard Bajolet : « Les forces françaises tournent une page importante en Kapisa mais, pour autant, la France ne va pas quitter la province puisqu'elle va continuer les projets d'aide lancés notamment en matière d'éducation, de santé, d'électrification et d'agriculture ». Ce transfert de responsabilité est une étape importante du retrait des forces françaises dans ce pays, dont le président français François Hollande vient d'accélérer le calendrier, en ordonnant le retrait de 2 000 des 3 550 soldats encore présents avant la fin de l'année 2012. Les 1 550 soldats qui resteront sur place après cette date seront chargés d'organiser le rapatriement du matériel, de former des forces de sécurité locales et de démonter certaines bases. L'OTAN prévoie de retirer l'intégralité de ses forces en 2014, bien que de nombreux experts restent sceptiques quant à la capacité des forces afghanes d'assurer à elles seules la sécurité et la stabilité du pays.
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Générer des mots clés issus du texte suivant : Afghanistan : l'armée française transfère le contrôle de la Kapisa à l'armée afghane L'armée française vient de transférer officiellement ce mercredi 4 juillet le contrôle de la province de la Kapisa, dernier territoire dont elle avait la responsabilité, aux forces de sécurité afghanes. La cérémonie de transfert s'est déroulée dans la ville de Mahmood-e-Raqi, capitale de la province, en présence de responsable afghans et de l'OTAN, où le drapeau afghan a été hissé sur le mât placé devant le siège des autorités provinciales, remplaçant celui de l'OTAN. Cependant, si la responsabilité de la province est confiée aux forces afghanes, l'armée française ne va pas retirer l'intégralité de ses forces comme le précise l'ambassadeur de France en Afghanistan, Bernard Bajolet : « Les forces françaises tournent une page importante en Kapisa mais, pour autant, la France ne va pas quitter la province puisqu'elle va continuer les projets d'aide lancés notamment en matière d'éducation, de santé, d'électrification et d'agriculture ». Ce transfert de responsabilité est une étape importante du retrait des forces françaises dans ce pays, dont le président français François Hollande vient d'accélérer le calendrier, en ordonnant le retrait de 2 000 des 3 550 soldats encore présents avant la fin de l'année 2012. Les 1 550 soldats qui resteront sur place après cette date seront chargés d'organiser le rapatriement du matériel, de former des forces de sécurité locales et de démonter certaines bases. L'OTAN prévoie de retirer l'intégralité de ses forces en 2014, bien que de nombreux experts restent sceptiques quant à la capacité des forces afghanes d'assurer à elles seules la sécurité et la stabilité du pays.
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Génère des mots clés issus du texte suivant : Afghanistan : l'armée française transfère le contrôle de la Kapisa à l'armée afghane L'armée française vient de transférer officiellement ce mercredi 4 juillet le contrôle de la province de la Kapisa, dernier territoire dont elle avait la responsabilité, aux forces de sécurité afghanes. La cérémonie de transfert s'est déroulée dans la ville de Mahmood-e-Raqi, capitale de la province, en présence de responsable afghans et de l'OTAN, où le drapeau afghan a été hissé sur le mât placé devant le siège des autorités provinciales, remplaçant celui de l'OTAN. Cependant, si la responsabilité de la province est confiée aux forces afghanes, l'armée française ne va pas retirer l'intégralité de ses forces comme le précise l'ambassadeur de France en Afghanistan, Bernard Bajolet : « Les forces françaises tournent une page importante en Kapisa mais, pour autant, la France ne va pas quitter la province puisqu'elle va continuer les projets d'aide lancés notamment en matière d'éducation, de santé, d'électrification et d'agriculture ». Ce transfert de responsabilité est une étape importante du retrait des forces françaises dans ce pays, dont le président français François Hollande vient d'accélérer le calendrier, en ordonnant le retrait de 2 000 des 3 550 soldats encore présents avant la fin de l'année 2012. Les 1 550 soldats qui resteront sur place après cette date seront chargés d'organiser le rapatriement du matériel, de former des forces de sécurité locales et de démonter certaines bases. L'OTAN prévoie de retirer l'intégralité de ses forces en 2014, bien que de nombreux experts restent sceptiques quant à la capacité des forces afghanes d'assurer à elles seules la sécurité et la stabilité du pays.
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Extraire les mots clés importants du texte suivant : Mali : des citoyens appellent à libérer le nord du pays Environ 2 000 citoyens maliens du nord en colère contre les exactions des groupes armés, particulièrement les islamistes, qui contrôlent le nord du pays depuis trois mois ont manifestés aujourd'hui à Bamako. Ils revendiquent notamment l'obtention d'armes pour libérer le nord du pays. « Si l'armée ne veut pas faire la guerre, qu'on nous donne les moyens de libérer nos terres ! [...] Nous demandons la libération de notre pays » a déclaré Oumar Maïga, l'un des responsables de la manifestation. Nock Ag Attia, député touareg, a précisé que les milices qui contrôlent actuellement le nord du pays ne représentent pas les maliens : « Au Mali, les Touareg, les Peul, les Songhoï ne partagent pas les bêtises du MNLA, du Mujao, et d'Al-Qaïda ». Le gouvernement malien multiplie les voyages dans le monde et les déclarations pour plaider la cause du pays sans obtenir de résultats concrets. En conséquence, la population se sent lâchée par les pouvoirs publics : « Les discours, les voyages ne vont pas résoudre les problèmes du Mali, il faut des actions concrètes », déclare Fatoumata Maïga, présidente d'une ONG féminine pour la paix. Face à l'impuissance du gouvernement malien, la Communauté économique des États d'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) a organisée un sommet à Ougadougou avec des représentants du Mali pour mettre en place un gouvernement malien fort. La CEDEAO est prête a effectuer une intervention armée, mais attend le feu vert du gouvernement malien et de l'ONU. De l'autre côté, les islamistes se préparent à d'éventuelles contre-offensives et ont minés les alentours de la ville de Gao.
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Extrais les mots clés importants du texte suivant : Mali : des citoyens appellent à libérer le nord du pays Environ 2 000 citoyens maliens du nord en colère contre les exactions des groupes armés, particulièrement les islamistes, qui contrôlent le nord du pays depuis trois mois ont manifestés aujourd'hui à Bamako. Ils revendiquent notamment l'obtention d'armes pour libérer le nord du pays. « Si l'armée ne veut pas faire la guerre, qu'on nous donne les moyens de libérer nos terres ! [...] Nous demandons la libération de notre pays » a déclaré Oumar Maïga, l'un des responsables de la manifestation. Nock Ag Attia, député touareg, a précisé que les milices qui contrôlent actuellement le nord du pays ne représentent pas les maliens : « Au Mali, les Touareg, les Peul, les Songhoï ne partagent pas les bêtises du MNLA, du Mujao, et d'Al-Qaïda ». Le gouvernement malien multiplie les voyages dans le monde et les déclarations pour plaider la cause du pays sans obtenir de résultats concrets. En conséquence, la population se sent lâchée par les pouvoirs publics : « Les discours, les voyages ne vont pas résoudre les problèmes du Mali, il faut des actions concrètes », déclare Fatoumata Maïga, présidente d'une ONG féminine pour la paix. Face à l'impuissance du gouvernement malien, la Communauté économique des États d'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) a organisée un sommet à Ougadougou avec des représentants du Mali pour mettre en place un gouvernement malien fort. La CEDEAO est prête a effectuer une intervention armée, mais attend le feu vert du gouvernement malien et de l'ONU. De l'autre côté, les islamistes se préparent à d'éventuelles contre-offensives et ont minés les alentours de la ville de Gao.
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Dégager des mots clés dans le texte : Mali : des citoyens appellent à libérer le nord du pays Environ 2 000 citoyens maliens du nord en colère contre les exactions des groupes armés, particulièrement les islamistes, qui contrôlent le nord du pays depuis trois mois ont manifestés aujourd'hui à Bamako. Ils revendiquent notamment l'obtention d'armes pour libérer le nord du pays. « Si l'armée ne veut pas faire la guerre, qu'on nous donne les moyens de libérer nos terres ! [...] Nous demandons la libération de notre pays » a déclaré Oumar Maïga, l'un des responsables de la manifestation. Nock Ag Attia, député touareg, a précisé que les milices qui contrôlent actuellement le nord du pays ne représentent pas les maliens : « Au Mali, les Touareg, les Peul, les Songhoï ne partagent pas les bêtises du MNLA, du Mujao, et d'Al-Qaïda ». Le gouvernement malien multiplie les voyages dans le monde et les déclarations pour plaider la cause du pays sans obtenir de résultats concrets. En conséquence, la population se sent lâchée par les pouvoirs publics : « Les discours, les voyages ne vont pas résoudre les problèmes du Mali, il faut des actions concrètes », déclare Fatoumata Maïga, présidente d'une ONG féminine pour la paix. Face à l'impuissance du gouvernement malien, la Communauté économique des États d'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) a organisée un sommet à Ougadougou avec des représentants du Mali pour mettre en place un gouvernement malien fort. La CEDEAO est prête a effectuer une intervention armée, mais attend le feu vert du gouvernement malien et de l'ONU. De l'autre côté, les islamistes se préparent à d'éventuelles contre-offensives et ont minés les alentours de la ville de Gao.
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