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Repérer les mots clés importants présents dans le texte suivant : Croatie : publication des noms des plus gros fraudeurs La Croatie a décidé de rendre public les noms de ses plus gros fraudeurs. Une liste de 102 000 contribuables, allant du simple particulier à la grosse entreprise, en passant par la PME, qui ne s'étaient pas acquittés de leurs impôts vient d'être publiée. Le fisc défend cette publication, parlant d'un « effort de transparence ». Selon plusieurs associations croates, cette publication flirte avec la démagogie. « Ils auraient dû s’inquiéter de la façon dont on peut contracter de telles dettes, c’est-à-dire des dysfonctionnements de nos institutions. Nous devons nous battre contre cela et ce n’est pas cette mesure populiste qui va nous y aider » a déclaré Zlatko Zeljko, représentant de l’association de protection légale. Cette publication pourrait de surcroît s'avérer inutile car bon nombre des entreprises présentes dans cette liste ont déjà fait faillite.
croatie, publication, publication des noms, plus gros fraudeurs, fraudeurs, liste, impôts, effort de transparence
Repère les mots clés importants présents dans le texte suivant : Croatie : publication des noms des plus gros fraudeurs La Croatie a décidé de rendre public les noms de ses plus gros fraudeurs. Une liste de 102 000 contribuables, allant du simple particulier à la grosse entreprise, en passant par la PME, qui ne s'étaient pas acquittés de leurs impôts vient d'être publiée. Le fisc défend cette publication, parlant d'un « effort de transparence ». Selon plusieurs associations croates, cette publication flirte avec la démagogie. « Ils auraient dû s’inquiéter de la façon dont on peut contracter de telles dettes, c’est-à-dire des dysfonctionnements de nos institutions. Nous devons nous battre contre cela et ce n’est pas cette mesure populiste qui va nous y aider » a déclaré Zlatko Zeljko, représentant de l’association de protection légale. Cette publication pourrait de surcroît s'avérer inutile car bon nombre des entreprises présentes dans cette liste ont déjà fait faillite.
croatie, publication, publication des noms, plus gros fraudeurs, fraudeurs, liste, impôts, effort de transparence
Repérez les mots clés importants présents dans le texte suivant : Croatie : publication des noms des plus gros fraudeurs La Croatie a décidé de rendre public les noms de ses plus gros fraudeurs. Une liste de 102 000 contribuables, allant du simple particulier à la grosse entreprise, en passant par la PME, qui ne s'étaient pas acquittés de leurs impôts vient d'être publiée. Le fisc défend cette publication, parlant d'un « effort de transparence ». Selon plusieurs associations croates, cette publication flirte avec la démagogie. « Ils auraient dû s’inquiéter de la façon dont on peut contracter de telles dettes, c’est-à-dire des dysfonctionnements de nos institutions. Nous devons nous battre contre cela et ce n’est pas cette mesure populiste qui va nous y aider » a déclaré Zlatko Zeljko, représentant de l’association de protection légale. Cette publication pourrait de surcroît s'avérer inutile car bon nombre des entreprises présentes dans cette liste ont déjà fait faillite.
croatie, publication, publication des noms, plus gros fraudeurs, fraudeurs, liste, impôts, effort de transparence
Indiquer les mots clés du texte : Croatie : publication des noms des plus gros fraudeurs La Croatie a décidé de rendre public les noms de ses plus gros fraudeurs. Une liste de 102 000 contribuables, allant du simple particulier à la grosse entreprise, en passant par la PME, qui ne s'étaient pas acquittés de leurs impôts vient d'être publiée. Le fisc défend cette publication, parlant d'un « effort de transparence ». Selon plusieurs associations croates, cette publication flirte avec la démagogie. « Ils auraient dû s’inquiéter de la façon dont on peut contracter de telles dettes, c’est-à-dire des dysfonctionnements de nos institutions. Nous devons nous battre contre cela et ce n’est pas cette mesure populiste qui va nous y aider » a déclaré Zlatko Zeljko, représentant de l’association de protection légale. Cette publication pourrait de surcroît s'avérer inutile car bon nombre des entreprises présentes dans cette liste ont déjà fait faillite.
croatie, publication, publication des noms, plus gros fraudeurs, fraudeurs, liste, impôts, effort de transparence
Indiquer les mots clés du texte : Croatie : publication des noms des plus gros fraudeurs La Croatie a décidé de rendre public les noms de ses plus gros fraudeurs. Une liste de 102 000 contribuables, allant du simple particulier à la grosse entreprise, en passant par la PME, qui ne s'étaient pas acquittés de leurs impôts vient d'être publiée. Le fisc défend cette publication, parlant d'un « effort de transparence ». Selon plusieurs associations croates, cette publication flirte avec la démagogie. « Ils auraient dû s’inquiéter de la façon dont on peut contracter de telles dettes, c’est-à-dire des dysfonctionnements de nos institutions. Nous devons nous battre contre cela et ce n’est pas cette mesure populiste qui va nous y aider » a déclaré Zlatko Zeljko, représentant de l’association de protection légale. Cette publication pourrait de surcroît s'avérer inutile car bon nombre des entreprises présentes dans cette liste ont déjà fait faillite.
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Indiquer les mots clés du texte : Croatie : publication des noms des plus gros fraudeurs La Croatie a décidé de rendre public les noms de ses plus gros fraudeurs. Une liste de 102 000 contribuables, allant du simple particulier à la grosse entreprise, en passant par la PME, qui ne s'étaient pas acquittés de leurs impôts vient d'être publiée. Le fisc défend cette publication, parlant d'un « effort de transparence ». Selon plusieurs associations croates, cette publication flirte avec la démagogie. « Ils auraient dû s’inquiéter de la façon dont on peut contracter de telles dettes, c’est-à-dire des dysfonctionnements de nos institutions. Nous devons nous battre contre cela et ce n’est pas cette mesure populiste qui va nous y aider » a déclaré Zlatko Zeljko, représentant de l’association de protection légale. Cette publication pourrait de surcroît s'avérer inutile car bon nombre des entreprises présentes dans cette liste ont déjà fait faillite.
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Extraire les mots clés importants du texte suivant : France : pour Montebourg, le nucléaire est une « filière d'avenir » Le ministre du Redressement productif a déclaré dimanche sur BFM TV que « le nucléaire est une filière d'avenir ». Arnaud Montebourg reconnait tout de même qu'il faut qu'il soit « rééquilibré ». 27 août 2012. - « Avec une augmentation continue de la consommation des ménages et industrielle, même en maintenant notre parc de centrales actuel », la question est de savoir « si nous allons continuer à investir » affirme-t-il. « Pour ma part, je considère que le nucléaire est une filière d'avenir ». Europe Écologie Les Verts faisait part dimanche soir de son étonnement à la suite de ces déclarations ; le parti écologiste pense qu'il s'agit de « propos isolés ». « Nous réagissons en n'attachant pas plus d'importance que cela aux propos d'Arnaud Montebourg que nous connaissions déjà comme étant pro-nucléaire » déclare à l'AFP Jean-Philippe Magnen, le porte-parole du parti. « Le président a annoncé un grand débat national sur l'énergie. Il a pris un certain nombre d'engagements de réduire la part du nucléaire » a-t-il précisé. Durant la campagne présidentielle, François Hollande avait promis d'engager « la réduction de la part du nucléaire dans la production d'électricité de 75 % à 50 % à l'horizon 2025 » en conformité avec l'accord électoral négocié entre le PS et les écologistes d'EELV. Ces derniers souhaitent une sortie du nucléaire. Le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, apportait son soutient à A. Montebourg ce matin sur Europe 1, en affirmant que « le nucléaire est incontestablement et évidement une filière d'avenir ».
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Extrais les mots clés importants du texte suivant : France : pour Montebourg, le nucléaire est une « filière d'avenir » Le ministre du Redressement productif a déclaré dimanche sur BFM TV que « le nucléaire est une filière d'avenir ». Arnaud Montebourg reconnait tout de même qu'il faut qu'il soit « rééquilibré ». 27 août 2012. - « Avec une augmentation continue de la consommation des ménages et industrielle, même en maintenant notre parc de centrales actuel », la question est de savoir « si nous allons continuer à investir » affirme-t-il. « Pour ma part, je considère que le nucléaire est une filière d'avenir ». Europe Écologie Les Verts faisait part dimanche soir de son étonnement à la suite de ces déclarations ; le parti écologiste pense qu'il s'agit de « propos isolés ». « Nous réagissons en n'attachant pas plus d'importance que cela aux propos d'Arnaud Montebourg que nous connaissions déjà comme étant pro-nucléaire » déclare à l'AFP Jean-Philippe Magnen, le porte-parole du parti. « Le président a annoncé un grand débat national sur l'énergie. Il a pris un certain nombre d'engagements de réduire la part du nucléaire » a-t-il précisé. Durant la campagne présidentielle, François Hollande avait promis d'engager « la réduction de la part du nucléaire dans la production d'électricité de 75 % à 50 % à l'horizon 2025 » en conformité avec l'accord électoral négocié entre le PS et les écologistes d'EELV. Ces derniers souhaitent une sortie du nucléaire. Le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, apportait son soutient à A. Montebourg ce matin sur Europe 1, en affirmant que « le nucléaire est incontestablement et évidement une filière d'avenir ».
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Extrayez les mots clés importants du texte suivant : France : pour Montebourg, le nucléaire est une « filière d'avenir » Le ministre du Redressement productif a déclaré dimanche sur BFM TV que « le nucléaire est une filière d'avenir ». Arnaud Montebourg reconnait tout de même qu'il faut qu'il soit « rééquilibré ». 27 août 2012. - « Avec une augmentation continue de la consommation des ménages et industrielle, même en maintenant notre parc de centrales actuel », la question est de savoir « si nous allons continuer à investir » affirme-t-il. « Pour ma part, je considère que le nucléaire est une filière d'avenir ». Europe Écologie Les Verts faisait part dimanche soir de son étonnement à la suite de ces déclarations ; le parti écologiste pense qu'il s'agit de « propos isolés ». « Nous réagissons en n'attachant pas plus d'importance que cela aux propos d'Arnaud Montebourg que nous connaissions déjà comme étant pro-nucléaire » déclare à l'AFP Jean-Philippe Magnen, le porte-parole du parti. « Le président a annoncé un grand débat national sur l'énergie. Il a pris un certain nombre d'engagements de réduire la part du nucléaire » a-t-il précisé. Durant la campagne présidentielle, François Hollande avait promis d'engager « la réduction de la part du nucléaire dans la production d'électricité de 75 % à 50 % à l'horizon 2025 » en conformité avec l'accord électoral négocié entre le PS et les écologistes d'EELV. Ces derniers souhaitent une sortie du nucléaire. Le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, apportait son soutient à A. Montebourg ce matin sur Europe 1, en affirmant que « le nucléaire est incontestablement et évidement une filière d'avenir ».
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Isoler les mots clés importants du texte suivant : France : pour Montebourg, le nucléaire est une « filière d'avenir » Le ministre du Redressement productif a déclaré dimanche sur BFM TV que « le nucléaire est une filière d'avenir ». Arnaud Montebourg reconnait tout de même qu'il faut qu'il soit « rééquilibré ». 27 août 2012. - « Avec une augmentation continue de la consommation des ménages et industrielle, même en maintenant notre parc de centrales actuel », la question est de savoir « si nous allons continuer à investir » affirme-t-il. « Pour ma part, je considère que le nucléaire est une filière d'avenir ». Europe Écologie Les Verts faisait part dimanche soir de son étonnement à la suite de ces déclarations ; le parti écologiste pense qu'il s'agit de « propos isolés ». « Nous réagissons en n'attachant pas plus d'importance que cela aux propos d'Arnaud Montebourg que nous connaissions déjà comme étant pro-nucléaire » déclare à l'AFP Jean-Philippe Magnen, le porte-parole du parti. « Le président a annoncé un grand débat national sur l'énergie. Il a pris un certain nombre d'engagements de réduire la part du nucléaire » a-t-il précisé. Durant la campagne présidentielle, François Hollande avait promis d'engager « la réduction de la part du nucléaire dans la production d'électricité de 75 % à 50 % à l'horizon 2025 » en conformité avec l'accord électoral négocié entre le PS et les écologistes d'EELV. Ces derniers souhaitent une sortie du nucléaire. Le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, apportait son soutient à A. Montebourg ce matin sur Europe 1, en affirmant que « le nucléaire est incontestablement et évidement une filière d'avenir ».
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Isole les mots clés importants du texte suivant : France : pour Montebourg, le nucléaire est une « filière d'avenir » Le ministre du Redressement productif a déclaré dimanche sur BFM TV que « le nucléaire est une filière d'avenir ». Arnaud Montebourg reconnait tout de même qu'il faut qu'il soit « rééquilibré ». 27 août 2012. - « Avec une augmentation continue de la consommation des ménages et industrielle, même en maintenant notre parc de centrales actuel », la question est de savoir « si nous allons continuer à investir » affirme-t-il. « Pour ma part, je considère que le nucléaire est une filière d'avenir ». Europe Écologie Les Verts faisait part dimanche soir de son étonnement à la suite de ces déclarations ; le parti écologiste pense qu'il s'agit de « propos isolés ». « Nous réagissons en n'attachant pas plus d'importance que cela aux propos d'Arnaud Montebourg que nous connaissions déjà comme étant pro-nucléaire » déclare à l'AFP Jean-Philippe Magnen, le porte-parole du parti. « Le président a annoncé un grand débat national sur l'énergie. Il a pris un certain nombre d'engagements de réduire la part du nucléaire » a-t-il précisé. Durant la campagne présidentielle, François Hollande avait promis d'engager « la réduction de la part du nucléaire dans la production d'électricité de 75 % à 50 % à l'horizon 2025 » en conformité avec l'accord électoral négocié entre le PS et les écologistes d'EELV. Ces derniers souhaitent une sortie du nucléaire. Le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, apportait son soutient à A. Montebourg ce matin sur Europe 1, en affirmant que « le nucléaire est incontestablement et évidement une filière d'avenir ».
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Isolez les mots clés importants du texte suivant : France : pour Montebourg, le nucléaire est une « filière d'avenir » Le ministre du Redressement productif a déclaré dimanche sur BFM TV que « le nucléaire est une filière d'avenir ». Arnaud Montebourg reconnait tout de même qu'il faut qu'il soit « rééquilibré ». 27 août 2012. - « Avec une augmentation continue de la consommation des ménages et industrielle, même en maintenant notre parc de centrales actuel », la question est de savoir « si nous allons continuer à investir » affirme-t-il. « Pour ma part, je considère que le nucléaire est une filière d'avenir ». Europe Écologie Les Verts faisait part dimanche soir de son étonnement à la suite de ces déclarations ; le parti écologiste pense qu'il s'agit de « propos isolés ». « Nous réagissons en n'attachant pas plus d'importance que cela aux propos d'Arnaud Montebourg que nous connaissions déjà comme étant pro-nucléaire » déclare à l'AFP Jean-Philippe Magnen, le porte-parole du parti. « Le président a annoncé un grand débat national sur l'énergie. Il a pris un certain nombre d'engagements de réduire la part du nucléaire » a-t-il précisé. Durant la campagne présidentielle, François Hollande avait promis d'engager « la réduction de la part du nucléaire dans la production d'électricité de 75 % à 50 % à l'horizon 2025 » en conformité avec l'accord électoral négocié entre le PS et les écologistes d'EELV. Ces derniers souhaitent une sortie du nucléaire. Le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, apportait son soutient à A. Montebourg ce matin sur Europe 1, en affirmant que « le nucléaire est incontestablement et évidement une filière d'avenir ».
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Dégager des mots clés dans le texte : France : pour Montebourg, le nucléaire est une « filière d'avenir » Le ministre du Redressement productif a déclaré dimanche sur BFM TV que « le nucléaire est une filière d'avenir ». Arnaud Montebourg reconnait tout de même qu'il faut qu'il soit « rééquilibré ». 27 août 2012. - « Avec une augmentation continue de la consommation des ménages et industrielle, même en maintenant notre parc de centrales actuel », la question est de savoir « si nous allons continuer à investir » affirme-t-il. « Pour ma part, je considère que le nucléaire est une filière d'avenir ». Europe Écologie Les Verts faisait part dimanche soir de son étonnement à la suite de ces déclarations ; le parti écologiste pense qu'il s'agit de « propos isolés ». « Nous réagissons en n'attachant pas plus d'importance que cela aux propos d'Arnaud Montebourg que nous connaissions déjà comme étant pro-nucléaire » déclare à l'AFP Jean-Philippe Magnen, le porte-parole du parti. « Le président a annoncé un grand débat national sur l'énergie. Il a pris un certain nombre d'engagements de réduire la part du nucléaire » a-t-il précisé. Durant la campagne présidentielle, François Hollande avait promis d'engager « la réduction de la part du nucléaire dans la production d'électricité de 75 % à 50 % à l'horizon 2025 » en conformité avec l'accord électoral négocié entre le PS et les écologistes d'EELV. Ces derniers souhaitent une sortie du nucléaire. Le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, apportait son soutient à A. Montebourg ce matin sur Europe 1, en affirmant que « le nucléaire est incontestablement et évidement une filière d'avenir ».
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Dégage des mots clés dans le texte : France : pour Montebourg, le nucléaire est une « filière d'avenir » Le ministre du Redressement productif a déclaré dimanche sur BFM TV que « le nucléaire est une filière d'avenir ». Arnaud Montebourg reconnait tout de même qu'il faut qu'il soit « rééquilibré ». 27 août 2012. - « Avec une augmentation continue de la consommation des ménages et industrielle, même en maintenant notre parc de centrales actuel », la question est de savoir « si nous allons continuer à investir » affirme-t-il. « Pour ma part, je considère que le nucléaire est une filière d'avenir ». Europe Écologie Les Verts faisait part dimanche soir de son étonnement à la suite de ces déclarations ; le parti écologiste pense qu'il s'agit de « propos isolés ». « Nous réagissons en n'attachant pas plus d'importance que cela aux propos d'Arnaud Montebourg que nous connaissions déjà comme étant pro-nucléaire » déclare à l'AFP Jean-Philippe Magnen, le porte-parole du parti. « Le président a annoncé un grand débat national sur l'énergie. Il a pris un certain nombre d'engagements de réduire la part du nucléaire » a-t-il précisé. Durant la campagne présidentielle, François Hollande avait promis d'engager « la réduction de la part du nucléaire dans la production d'électricité de 75 % à 50 % à l'horizon 2025 » en conformité avec l'accord électoral négocié entre le PS et les écologistes d'EELV. Ces derniers souhaitent une sortie du nucléaire. Le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, apportait son soutient à A. Montebourg ce matin sur Europe 1, en affirmant que « le nucléaire est incontestablement et évidement une filière d'avenir ».
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Dégagez des mots clés dans le texte : France : pour Montebourg, le nucléaire est une « filière d'avenir » Le ministre du Redressement productif a déclaré dimanche sur BFM TV que « le nucléaire est une filière d'avenir ». Arnaud Montebourg reconnait tout de même qu'il faut qu'il soit « rééquilibré ». 27 août 2012. - « Avec une augmentation continue de la consommation des ménages et industrielle, même en maintenant notre parc de centrales actuel », la question est de savoir « si nous allons continuer à investir » affirme-t-il. « Pour ma part, je considère que le nucléaire est une filière d'avenir ». Europe Écologie Les Verts faisait part dimanche soir de son étonnement à la suite de ces déclarations ; le parti écologiste pense qu'il s'agit de « propos isolés ». « Nous réagissons en n'attachant pas plus d'importance que cela aux propos d'Arnaud Montebourg que nous connaissions déjà comme étant pro-nucléaire » déclare à l'AFP Jean-Philippe Magnen, le porte-parole du parti. « Le président a annoncé un grand débat national sur l'énergie. Il a pris un certain nombre d'engagements de réduire la part du nucléaire » a-t-il précisé. Durant la campagne présidentielle, François Hollande avait promis d'engager « la réduction de la part du nucléaire dans la production d'électricité de 75 % à 50 % à l'horizon 2025 » en conformité avec l'accord électoral négocié entre le PS et les écologistes d'EELV. Ces derniers souhaitent une sortie du nucléaire. Le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, apportait son soutient à A. Montebourg ce matin sur Europe 1, en affirmant que « le nucléaire est incontestablement et évidement une filière d'avenir ».
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Générer des mots clés issus du texte suivant : France : pour Montebourg, le nucléaire est une « filière d'avenir » Le ministre du Redressement productif a déclaré dimanche sur BFM TV que « le nucléaire est une filière d'avenir ». Arnaud Montebourg reconnait tout de même qu'il faut qu'il soit « rééquilibré ». 27 août 2012. - « Avec une augmentation continue de la consommation des ménages et industrielle, même en maintenant notre parc de centrales actuel », la question est de savoir « si nous allons continuer à investir » affirme-t-il. « Pour ma part, je considère que le nucléaire est une filière d'avenir ». Europe Écologie Les Verts faisait part dimanche soir de son étonnement à la suite de ces déclarations ; le parti écologiste pense qu'il s'agit de « propos isolés ». « Nous réagissons en n'attachant pas plus d'importance que cela aux propos d'Arnaud Montebourg que nous connaissions déjà comme étant pro-nucléaire » déclare à l'AFP Jean-Philippe Magnen, le porte-parole du parti. « Le président a annoncé un grand débat national sur l'énergie. Il a pris un certain nombre d'engagements de réduire la part du nucléaire » a-t-il précisé. Durant la campagne présidentielle, François Hollande avait promis d'engager « la réduction de la part du nucléaire dans la production d'électricité de 75 % à 50 % à l'horizon 2025 » en conformité avec l'accord électoral négocié entre le PS et les écologistes d'EELV. Ces derniers souhaitent une sortie du nucléaire. Le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, apportait son soutient à A. Montebourg ce matin sur Europe 1, en affirmant que « le nucléaire est incontestablement et évidement une filière d'avenir ».
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Trouvez les mots clés du texte : France : pour Montebourg, le nucléaire est une « filière d'avenir » Le ministre du Redressement productif a déclaré dimanche sur BFM TV que « le nucléaire est une filière d'avenir ». Arnaud Montebourg reconnait tout de même qu'il faut qu'il soit « rééquilibré ». 27 août 2012. - « Avec une augmentation continue de la consommation des ménages et industrielle, même en maintenant notre parc de centrales actuel », la question est de savoir « si nous allons continuer à investir » affirme-t-il. « Pour ma part, je considère que le nucléaire est une filière d'avenir ». Europe Écologie Les Verts faisait part dimanche soir de son étonnement à la suite de ces déclarations ; le parti écologiste pense qu'il s'agit de « propos isolés ». « Nous réagissons en n'attachant pas plus d'importance que cela aux propos d'Arnaud Montebourg que nous connaissions déjà comme étant pro-nucléaire » déclare à l'AFP Jean-Philippe Magnen, le porte-parole du parti. « Le président a annoncé un grand débat national sur l'énergie. Il a pris un certain nombre d'engagements de réduire la part du nucléaire » a-t-il précisé. Durant la campagne présidentielle, François Hollande avait promis d'engager « la réduction de la part du nucléaire dans la production d'électricité de 75 % à 50 % à l'horizon 2025 » en conformité avec l'accord électoral négocié entre le PS et les écologistes d'EELV. Ces derniers souhaitent une sortie du nucléaire. Le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, apportait son soutient à A. Montebourg ce matin sur Europe 1, en affirmant que « le nucléaire est incontestablement et évidement une filière d'avenir ».
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Extraire les mots clés importants du texte suivant : Guyane : deux militaires tués dans une opération contre des orpailleurs clandestins Deux militaires français qui intervenaient dans le cadre de l'opération Harpie luttant contre les sites d’orpaillage clandestins sur le territoire guyanais ont été tués mercredi lors d'une mission qui s'est transformée en embuscade. Le caporal-chef de 32 ans et un adjudant de 29 ans faisaient tous deux partis du 9e régiment d'infanterie de marine basé à Cayenne et Saint-Jean-du-Maroni. Deux gendarmes qui étaient également membres de la vingtaine de militaires du groupe d'intervention ont été blessés, mais leurs jours ne sont pas en danger. Ils sont intervenus après qu'un hélicoptère de la gendarmerie ait essuyé des tirs quelques heures plus tôt en blessant un autre gendarme. L'incident s'est produit dans la région de Dorlin sur la commune de Maripasoula. Victorin Lurel, ministre des outre-mer, se rendra aujourd'hui en Guyane pour rendre hommage aux militaires décédés et apporter son soutien aux blessés.
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Indiquer les mots clés du texte : Guyane : deux militaires tués dans une opération contre des orpailleurs clandestins Deux militaires français qui intervenaient dans le cadre de l'opération Harpie luttant contre les sites d’orpaillage clandestins sur le territoire guyanais ont été tués mercredi lors d'une mission qui s'est transformée en embuscade. Le caporal-chef de 32 ans et un adjudant de 29 ans faisaient tous deux partis du 9e régiment d'infanterie de marine basé à Cayenne et Saint-Jean-du-Maroni. Deux gendarmes qui étaient également membres de la vingtaine de militaires du groupe d'intervention ont été blessés, mais leurs jours ne sont pas en danger. Ils sont intervenus après qu'un hélicoptère de la gendarmerie ait essuyé des tirs quelques heures plus tôt en blessant un autre gendarme. L'incident s'est produit dans la région de Dorlin sur la commune de Maripasoula. Victorin Lurel, ministre des outre-mer, se rendra aujourd'hui en Guyane pour rendre hommage aux militaires décédés et apporter son soutien aux blessés.
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Indiquer les mots clés du texte : Guyane : deux militaires tués dans une opération contre des orpailleurs clandestins Deux militaires français qui intervenaient dans le cadre de l'opération Harpie luttant contre les sites d’orpaillage clandestins sur le territoire guyanais ont été tués mercredi lors d'une mission qui s'est transformée en embuscade. Le caporal-chef de 32 ans et un adjudant de 29 ans faisaient tous deux partis du 9e régiment d'infanterie de marine basé à Cayenne et Saint-Jean-du-Maroni. Deux gendarmes qui étaient également membres de la vingtaine de militaires du groupe d'intervention ont été blessés, mais leurs jours ne sont pas en danger. Ils sont intervenus après qu'un hélicoptère de la gendarmerie ait essuyé des tirs quelques heures plus tôt en blessant un autre gendarme. L'incident s'est produit dans la région de Dorlin sur la commune de Maripasoula. Victorin Lurel, ministre des outre-mer, se rendra aujourd'hui en Guyane pour rendre hommage aux militaires décédés et apporter son soutien aux blessés.
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Indiquer les mots clés du texte : Guyane : deux militaires tués dans une opération contre des orpailleurs clandestins Deux militaires français qui intervenaient dans le cadre de l'opération Harpie luttant contre les sites d’orpaillage clandestins sur le territoire guyanais ont été tués mercredi lors d'une mission qui s'est transformée en embuscade. Le caporal-chef de 32 ans et un adjudant de 29 ans faisaient tous deux partis du 9e régiment d'infanterie de marine basé à Cayenne et Saint-Jean-du-Maroni. Deux gendarmes qui étaient également membres de la vingtaine de militaires du groupe d'intervention ont été blessés, mais leurs jours ne sont pas en danger. Ils sont intervenus après qu'un hélicoptère de la gendarmerie ait essuyé des tirs quelques heures plus tôt en blessant un autre gendarme. L'incident s'est produit dans la région de Dorlin sur la commune de Maripasoula. Victorin Lurel, ministre des outre-mer, se rendra aujourd'hui en Guyane pour rendre hommage aux militaires décédés et apporter son soutien aux blessés.
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Extraire les mots clés importants du texte suivant : Le journaliste Gilles Jacquier aurait été victime d'une bavure des rebelles syriens Le quotidien français Le Figaro annonce mardi soir sur internet que le journaliste de France 2 Gilles Jacquier aurait été tué le 11 janvier dernier par « un tir d'obus lancé par les rebelles de Homs, qui visaient un quartier alaouite pro-régime où se trouvait » le grand reporter, en évoquant une « source proche du dossier au ministère de la Défense à Paris ». « Les analyses balistiques et les renseignements recueillis sur place par nos sources juste après le drame indiquent que Jacquier a été tué d'un tir d'obus de mortier de 81 mm venu d'un quartier sunnite rebelle » indique le quotidien. « Des analyses montrent assez précisément la source du tir. Tous les services spécialisés (DCRI et DGSE notamment) ainsi que les diplomates de l'ambassade de France à Damas sont d'accord sur cette conclusion » Gilles Jacquier serait donc victime de tirs des forces anti-régime, une hypothèse qui avait déjà été évoquée. Un rapport de la Ligue arabe apporte la même conclusion : « Il faudrait noter que les rapports de la Mission de la Ligue arabe à Homs indiquent que le journaliste français a été tué à la suite des tirs de mortier par l’opposition ». Les ministères des Affaires étrangères et de la Défense n'ont pas fait de commentaire.
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Extrais les mots clés importants du texte suivant : Le journaliste Gilles Jacquier aurait été victime d'une bavure des rebelles syriens Le quotidien français Le Figaro annonce mardi soir sur internet que le journaliste de France 2 Gilles Jacquier aurait été tué le 11 janvier dernier par « un tir d'obus lancé par les rebelles de Homs, qui visaient un quartier alaouite pro-régime où se trouvait » le grand reporter, en évoquant une « source proche du dossier au ministère de la Défense à Paris ». « Les analyses balistiques et les renseignements recueillis sur place par nos sources juste après le drame indiquent que Jacquier a été tué d'un tir d'obus de mortier de 81 mm venu d'un quartier sunnite rebelle » indique le quotidien. « Des analyses montrent assez précisément la source du tir. Tous les services spécialisés (DCRI et DGSE notamment) ainsi que les diplomates de l'ambassade de France à Damas sont d'accord sur cette conclusion » Gilles Jacquier serait donc victime de tirs des forces anti-régime, une hypothèse qui avait déjà été évoquée. Un rapport de la Ligue arabe apporte la même conclusion : « Il faudrait noter que les rapports de la Mission de la Ligue arabe à Homs indiquent que le journaliste français a été tué à la suite des tirs de mortier par l’opposition ». Les ministères des Affaires étrangères et de la Défense n'ont pas fait de commentaire.
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Extrayez les mots clés importants du texte suivant : Le journaliste Gilles Jacquier aurait été victime d'une bavure des rebelles syriens Le quotidien français Le Figaro annonce mardi soir sur internet que le journaliste de France 2 Gilles Jacquier aurait été tué le 11 janvier dernier par « un tir d'obus lancé par les rebelles de Homs, qui visaient un quartier alaouite pro-régime où se trouvait » le grand reporter, en évoquant une « source proche du dossier au ministère de la Défense à Paris ». « Les analyses balistiques et les renseignements recueillis sur place par nos sources juste après le drame indiquent que Jacquier a été tué d'un tir d'obus de mortier de 81 mm venu d'un quartier sunnite rebelle » indique le quotidien. « Des analyses montrent assez précisément la source du tir. Tous les services spécialisés (DCRI et DGSE notamment) ainsi que les diplomates de l'ambassade de France à Damas sont d'accord sur cette conclusion » Gilles Jacquier serait donc victime de tirs des forces anti-régime, une hypothèse qui avait déjà été évoquée. Un rapport de la Ligue arabe apporte la même conclusion : « Il faudrait noter que les rapports de la Mission de la Ligue arabe à Homs indiquent que le journaliste français a été tué à la suite des tirs de mortier par l’opposition ». Les ministères des Affaires étrangères et de la Défense n'ont pas fait de commentaire.
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Isoler les mots clés importants du texte suivant : Le journaliste Gilles Jacquier aurait été victime d'une bavure des rebelles syriens Le quotidien français Le Figaro annonce mardi soir sur internet que le journaliste de France 2 Gilles Jacquier aurait été tué le 11 janvier dernier par « un tir d'obus lancé par les rebelles de Homs, qui visaient un quartier alaouite pro-régime où se trouvait » le grand reporter, en évoquant une « source proche du dossier au ministère de la Défense à Paris ». « Les analyses balistiques et les renseignements recueillis sur place par nos sources juste après le drame indiquent que Jacquier a été tué d'un tir d'obus de mortier de 81 mm venu d'un quartier sunnite rebelle » indique le quotidien. « Des analyses montrent assez précisément la source du tir. Tous les services spécialisés (DCRI et DGSE notamment) ainsi que les diplomates de l'ambassade de France à Damas sont d'accord sur cette conclusion » Gilles Jacquier serait donc victime de tirs des forces anti-régime, une hypothèse qui avait déjà été évoquée. Un rapport de la Ligue arabe apporte la même conclusion : « Il faudrait noter que les rapports de la Mission de la Ligue arabe à Homs indiquent que le journaliste français a été tué à la suite des tirs de mortier par l’opposition ». Les ministères des Affaires étrangères et de la Défense n'ont pas fait de commentaire.
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Isole les mots clés importants du texte suivant : Le journaliste Gilles Jacquier aurait été victime d'une bavure des rebelles syriens Le quotidien français Le Figaro annonce mardi soir sur internet que le journaliste de France 2 Gilles Jacquier aurait été tué le 11 janvier dernier par « un tir d'obus lancé par les rebelles de Homs, qui visaient un quartier alaouite pro-régime où se trouvait » le grand reporter, en évoquant une « source proche du dossier au ministère de la Défense à Paris ». « Les analyses balistiques et les renseignements recueillis sur place par nos sources juste après le drame indiquent que Jacquier a été tué d'un tir d'obus de mortier de 81 mm venu d'un quartier sunnite rebelle » indique le quotidien. « Des analyses montrent assez précisément la source du tir. Tous les services spécialisés (DCRI et DGSE notamment) ainsi que les diplomates de l'ambassade de France à Damas sont d'accord sur cette conclusion » Gilles Jacquier serait donc victime de tirs des forces anti-régime, une hypothèse qui avait déjà été évoquée. Un rapport de la Ligue arabe apporte la même conclusion : « Il faudrait noter que les rapports de la Mission de la Ligue arabe à Homs indiquent que le journaliste français a été tué à la suite des tirs de mortier par l’opposition ». Les ministères des Affaires étrangères et de la Défense n'ont pas fait de commentaire.
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Isolez les mots clés importants du texte suivant : Le journaliste Gilles Jacquier aurait été victime d'une bavure des rebelles syriens Le quotidien français Le Figaro annonce mardi soir sur internet que le journaliste de France 2 Gilles Jacquier aurait été tué le 11 janvier dernier par « un tir d'obus lancé par les rebelles de Homs, qui visaient un quartier alaouite pro-régime où se trouvait » le grand reporter, en évoquant une « source proche du dossier au ministère de la Défense à Paris ». « Les analyses balistiques et les renseignements recueillis sur place par nos sources juste après le drame indiquent que Jacquier a été tué d'un tir d'obus de mortier de 81 mm venu d'un quartier sunnite rebelle » indique le quotidien. « Des analyses montrent assez précisément la source du tir. Tous les services spécialisés (DCRI et DGSE notamment) ainsi que les diplomates de l'ambassade de France à Damas sont d'accord sur cette conclusion » Gilles Jacquier serait donc victime de tirs des forces anti-régime, une hypothèse qui avait déjà été évoquée. Un rapport de la Ligue arabe apporte la même conclusion : « Il faudrait noter que les rapports de la Mission de la Ligue arabe à Homs indiquent que le journaliste français a été tué à la suite des tirs de mortier par l’opposition ». Les ministères des Affaires étrangères et de la Défense n'ont pas fait de commentaire.
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Dégager des mots clés dans le texte : Le journaliste Gilles Jacquier aurait été victime d'une bavure des rebelles syriens Le quotidien français Le Figaro annonce mardi soir sur internet que le journaliste de France 2 Gilles Jacquier aurait été tué le 11 janvier dernier par « un tir d'obus lancé par les rebelles de Homs, qui visaient un quartier alaouite pro-régime où se trouvait » le grand reporter, en évoquant une « source proche du dossier au ministère de la Défense à Paris ». « Les analyses balistiques et les renseignements recueillis sur place par nos sources juste après le drame indiquent que Jacquier a été tué d'un tir d'obus de mortier de 81 mm venu d'un quartier sunnite rebelle » indique le quotidien. « Des analyses montrent assez précisément la source du tir. Tous les services spécialisés (DCRI et DGSE notamment) ainsi que les diplomates de l'ambassade de France à Damas sont d'accord sur cette conclusion » Gilles Jacquier serait donc victime de tirs des forces anti-régime, une hypothèse qui avait déjà été évoquée. Un rapport de la Ligue arabe apporte la même conclusion : « Il faudrait noter que les rapports de la Mission de la Ligue arabe à Homs indiquent que le journaliste français a été tué à la suite des tirs de mortier par l’opposition ». Les ministères des Affaires étrangères et de la Défense n'ont pas fait de commentaire.
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Dégage des mots clés dans le texte : Le journaliste Gilles Jacquier aurait été victime d'une bavure des rebelles syriens Le quotidien français Le Figaro annonce mardi soir sur internet que le journaliste de France 2 Gilles Jacquier aurait été tué le 11 janvier dernier par « un tir d'obus lancé par les rebelles de Homs, qui visaient un quartier alaouite pro-régime où se trouvait » le grand reporter, en évoquant une « source proche du dossier au ministère de la Défense à Paris ». « Les analyses balistiques et les renseignements recueillis sur place par nos sources juste après le drame indiquent que Jacquier a été tué d'un tir d'obus de mortier de 81 mm venu d'un quartier sunnite rebelle » indique le quotidien. « Des analyses montrent assez précisément la source du tir. Tous les services spécialisés (DCRI et DGSE notamment) ainsi que les diplomates de l'ambassade de France à Damas sont d'accord sur cette conclusion » Gilles Jacquier serait donc victime de tirs des forces anti-régime, une hypothèse qui avait déjà été évoquée. Un rapport de la Ligue arabe apporte la même conclusion : « Il faudrait noter que les rapports de la Mission de la Ligue arabe à Homs indiquent que le journaliste français a été tué à la suite des tirs de mortier par l’opposition ». Les ministères des Affaires étrangères et de la Défense n'ont pas fait de commentaire.
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Dégagez des mots clés dans le texte : Le journaliste Gilles Jacquier aurait été victime d'une bavure des rebelles syriens Le quotidien français Le Figaro annonce mardi soir sur internet que le journaliste de France 2 Gilles Jacquier aurait été tué le 11 janvier dernier par « un tir d'obus lancé par les rebelles de Homs, qui visaient un quartier alaouite pro-régime où se trouvait » le grand reporter, en évoquant une « source proche du dossier au ministère de la Défense à Paris ». « Les analyses balistiques et les renseignements recueillis sur place par nos sources juste après le drame indiquent que Jacquier a été tué d'un tir d'obus de mortier de 81 mm venu d'un quartier sunnite rebelle » indique le quotidien. « Des analyses montrent assez précisément la source du tir. Tous les services spécialisés (DCRI et DGSE notamment) ainsi que les diplomates de l'ambassade de France à Damas sont d'accord sur cette conclusion » Gilles Jacquier serait donc victime de tirs des forces anti-régime, une hypothèse qui avait déjà été évoquée. Un rapport de la Ligue arabe apporte la même conclusion : « Il faudrait noter que les rapports de la Mission de la Ligue arabe à Homs indiquent que le journaliste français a été tué à la suite des tirs de mortier par l’opposition ». Les ministères des Affaires étrangères et de la Défense n'ont pas fait de commentaire.
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Générer des mots clés issus du texte suivant : Le journaliste Gilles Jacquier aurait été victime d'une bavure des rebelles syriens Le quotidien français Le Figaro annonce mardi soir sur internet que le journaliste de France 2 Gilles Jacquier aurait été tué le 11 janvier dernier par « un tir d'obus lancé par les rebelles de Homs, qui visaient un quartier alaouite pro-régime où se trouvait » le grand reporter, en évoquant une « source proche du dossier au ministère de la Défense à Paris ». « Les analyses balistiques et les renseignements recueillis sur place par nos sources juste après le drame indiquent que Jacquier a été tué d'un tir d'obus de mortier de 81 mm venu d'un quartier sunnite rebelle » indique le quotidien. « Des analyses montrent assez précisément la source du tir. Tous les services spécialisés (DCRI et DGSE notamment) ainsi que les diplomates de l'ambassade de France à Damas sont d'accord sur cette conclusion » Gilles Jacquier serait donc victime de tirs des forces anti-régime, une hypothèse qui avait déjà été évoquée. Un rapport de la Ligue arabe apporte la même conclusion : « Il faudrait noter que les rapports de la Mission de la Ligue arabe à Homs indiquent que le journaliste français a été tué à la suite des tirs de mortier par l’opposition ». Les ministères des Affaires étrangères et de la Défense n'ont pas fait de commentaire.
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Génère des mots clés issus du texte suivant : Le journaliste Gilles Jacquier aurait été victime d'une bavure des rebelles syriens Le quotidien français Le Figaro annonce mardi soir sur internet que le journaliste de France 2 Gilles Jacquier aurait été tué le 11 janvier dernier par « un tir d'obus lancé par les rebelles de Homs, qui visaient un quartier alaouite pro-régime où se trouvait » le grand reporter, en évoquant une « source proche du dossier au ministère de la Défense à Paris ». « Les analyses balistiques et les renseignements recueillis sur place par nos sources juste après le drame indiquent que Jacquier a été tué d'un tir d'obus de mortier de 81 mm venu d'un quartier sunnite rebelle » indique le quotidien. « Des analyses montrent assez précisément la source du tir. Tous les services spécialisés (DCRI et DGSE notamment) ainsi que les diplomates de l'ambassade de France à Damas sont d'accord sur cette conclusion » Gilles Jacquier serait donc victime de tirs des forces anti-régime, une hypothèse qui avait déjà été évoquée. Un rapport de la Ligue arabe apporte la même conclusion : « Il faudrait noter que les rapports de la Mission de la Ligue arabe à Homs indiquent que le journaliste français a été tué à la suite des tirs de mortier par l’opposition ». Les ministères des Affaires étrangères et de la Défense n'ont pas fait de commentaire.
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Générez des mots clés issus du texte suivant : Le journaliste Gilles Jacquier aurait été victime d'une bavure des rebelles syriens Le quotidien français Le Figaro annonce mardi soir sur internet que le journaliste de France 2 Gilles Jacquier aurait été tué le 11 janvier dernier par « un tir d'obus lancé par les rebelles de Homs, qui visaient un quartier alaouite pro-régime où se trouvait » le grand reporter, en évoquant une « source proche du dossier au ministère de la Défense à Paris ». « Les analyses balistiques et les renseignements recueillis sur place par nos sources juste après le drame indiquent que Jacquier a été tué d'un tir d'obus de mortier de 81 mm venu d'un quartier sunnite rebelle » indique le quotidien. « Des analyses montrent assez précisément la source du tir. Tous les services spécialisés (DCRI et DGSE notamment) ainsi que les diplomates de l'ambassade de France à Damas sont d'accord sur cette conclusion » Gilles Jacquier serait donc victime de tirs des forces anti-régime, une hypothèse qui avait déjà été évoquée. Un rapport de la Ligue arabe apporte la même conclusion : « Il faudrait noter que les rapports de la Mission de la Ligue arabe à Homs indiquent que le journaliste français a été tué à la suite des tirs de mortier par l’opposition ». Les ministères des Affaires étrangères et de la Défense n'ont pas fait de commentaire.
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Trouver les mots clés du texte : Le journaliste Gilles Jacquier aurait été victime d'une bavure des rebelles syriens Le quotidien français Le Figaro annonce mardi soir sur internet que le journaliste de France 2 Gilles Jacquier aurait été tué le 11 janvier dernier par « un tir d'obus lancé par les rebelles de Homs, qui visaient un quartier alaouite pro-régime où se trouvait » le grand reporter, en évoquant une « source proche du dossier au ministère de la Défense à Paris ». « Les analyses balistiques et les renseignements recueillis sur place par nos sources juste après le drame indiquent que Jacquier a été tué d'un tir d'obus de mortier de 81 mm venu d'un quartier sunnite rebelle » indique le quotidien. « Des analyses montrent assez précisément la source du tir. Tous les services spécialisés (DCRI et DGSE notamment) ainsi que les diplomates de l'ambassade de France à Damas sont d'accord sur cette conclusion » Gilles Jacquier serait donc victime de tirs des forces anti-régime, une hypothèse qui avait déjà été évoquée. Un rapport de la Ligue arabe apporte la même conclusion : « Il faudrait noter que les rapports de la Mission de la Ligue arabe à Homs indiquent que le journaliste français a été tué à la suite des tirs de mortier par l’opposition ». Les ministères des Affaires étrangères et de la Défense n'ont pas fait de commentaire.
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Indiquer les mots clés du texte : Le journaliste Gilles Jacquier aurait été victime d'une bavure des rebelles syriens Le quotidien français Le Figaro annonce mardi soir sur internet que le journaliste de France 2 Gilles Jacquier aurait été tué le 11 janvier dernier par « un tir d'obus lancé par les rebelles de Homs, qui visaient un quartier alaouite pro-régime où se trouvait » le grand reporter, en évoquant une « source proche du dossier au ministère de la Défense à Paris ». « Les analyses balistiques et les renseignements recueillis sur place par nos sources juste après le drame indiquent que Jacquier a été tué d'un tir d'obus de mortier de 81 mm venu d'un quartier sunnite rebelle » indique le quotidien. « Des analyses montrent assez précisément la source du tir. Tous les services spécialisés (DCRI et DGSE notamment) ainsi que les diplomates de l'ambassade de France à Damas sont d'accord sur cette conclusion » Gilles Jacquier serait donc victime de tirs des forces anti-régime, une hypothèse qui avait déjà été évoquée. Un rapport de la Ligue arabe apporte la même conclusion : « Il faudrait noter que les rapports de la Mission de la Ligue arabe à Homs indiquent que le journaliste français a été tué à la suite des tirs de mortier par l’opposition ». Les ministères des Affaires étrangères et de la Défense n'ont pas fait de commentaire.
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Indiquer les mots clés du texte : Le journaliste Gilles Jacquier aurait été victime d'une bavure des rebelles syriens Le quotidien français Le Figaro annonce mardi soir sur internet que le journaliste de France 2 Gilles Jacquier aurait été tué le 11 janvier dernier par « un tir d'obus lancé par les rebelles de Homs, qui visaient un quartier alaouite pro-régime où se trouvait » le grand reporter, en évoquant une « source proche du dossier au ministère de la Défense à Paris ». « Les analyses balistiques et les renseignements recueillis sur place par nos sources juste après le drame indiquent que Jacquier a été tué d'un tir d'obus de mortier de 81 mm venu d'un quartier sunnite rebelle » indique le quotidien. « Des analyses montrent assez précisément la source du tir. Tous les services spécialisés (DCRI et DGSE notamment) ainsi que les diplomates de l'ambassade de France à Damas sont d'accord sur cette conclusion » Gilles Jacquier serait donc victime de tirs des forces anti-régime, une hypothèse qui avait déjà été évoquée. Un rapport de la Ligue arabe apporte la même conclusion : « Il faudrait noter que les rapports de la Mission de la Ligue arabe à Homs indiquent que le journaliste français a été tué à la suite des tirs de mortier par l’opposition ». Les ministères des Affaires étrangères et de la Défense n'ont pas fait de commentaire.
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Extraire les mots clés importants du texte suivant : Québec : le musée Pointe-à-Callière de Montréal inaugure son nouveau pavillon avec une exposition sur la civilisation étrusque C'est par une exposition sur la civilisation étrusque que le musée de Pointe-à-Callière de Montréal inaugurait son nouveau pavillon d'exposition, la Maison-des-Marins, le 23 juin dernier. Cette exposition a nécessité cinq années de préparation de la part du musée et a dû attendre l'ajout du nouveau pavillon qui donne au musée une plus grande salle d'exposition. Cette exposition permettra aux visiteurs de contempler plus de deux cents artéfacts archéologiques provenant d'une vingtaine de musées européens différents et qui rappellent l'histoire de ce peuple qui vivait sur le territoire de l'actuel Toscane du Xe au premier siècle avant notre ère. Le peuple étrusque s'intégrera par la suite à l'empire romain. Les Étrusques, un peuple d'agriculteurs, profitèrent de leur facilité à travailler le bronze pour en faire de véritables œuvres d'art. Ils sont aussi connus pour la fabrication de poteries d'argile noire. L'exposition présente les Étrusques autant du point de vue du territoire qu'ils ont occupé que dans les gestes de leur quotidien.
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Extrais les mots clés importants du texte suivant : Bourse : l'action de Samsung en baisse après sa condamnation face à Apple L'action de Samsung Electronics était en baisse de 6,81 % ce lundi matin en début de séance à la bourse de Séoul, à la suite de son procès perdu face à Apple. « Le contexte de la perte [...] est bien pire qu'attendu », y compris le montant de dommages et intérêts imposé à Samsung, commente Song Myung-Sup, analyste à Hi Investment and Securities. Sous couvert d’anonymat, un représentant du groupe admet que le verdict californien « représente le pire des scénarios pour nous ». Malgré tout, des analystes jugent dans la presse coréenne que le jugement pourrait être une chance pour Samsung, qui va devoir révolutionner sa culture d’entreprise. Ils estiment que si le conglomérat à battit son succès en s'inspirant de produits existants pour en créer des versions souvent meilleures, il est temps pour le premier fabricant mondial de téléphones portables de se montrer beaucoup plus innovant. Samsung annonçait samedi qu'il allait déposer un recours après la perte de ce procès contre la firme à la pomme. Rappelons que la société coréenne a été condamnée à verser plus d'un milliard de dollars à son rival américain pour violation de brevets. Lundi soir, les actions Samsung étaient en repli de 7,45 %.
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